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© Reuter.
Investing.com– Les prix du pétrole ont légèrement baissé vendredi par rapport à leurs plus hauts de quatre mois dans les échanges asiatiques, en raison de certaines prises de bénéfices et de la pression du dollar alors que les données d’inflation américaines plus élevées que prévu ont accru les craintes d’une Réserve fédérale plus belliciste.
Néanmoins, les prix du brut devraient gagner plus de 4 % cette semaine, les contrats à terme se maintenant au-dessus du niveau de 85 dollars le baril alors que les signes d’amélioration de la demande américaine et le resserrement des marchés du carburant ont entraîné de forts gains tout au long de la semaine.
expirant en mai a chuté de 0,2% à 85,26 $ le baril, tandis qu’il a chuté de 0,2% à 80,58 $ le baril à 21h42 HE (01h42 GMT).
Les prix ont subi la pression d’une hausse plus forte, qui a fortement augmenté jeudi après que les données d’inflation se soient révélées plus fortes que prévu pour février. Cette lecture, intervenue quelques jours seulement avant le , a accru les craintes selon lesquelles la banque centrale maintiendrait des taux d’intérêt plus élevés plus longtemps en 2024.
Le pétrole reste sur des gains hebdomadaires exceptionnels en raison de perspectives d’offre plus serrées
Les contrats sur le Brent et le WTI devraient augmenter de près de 4 % chacun cette semaine après qu’une baisse plus importante que prévu aux États-Unis ait indiqué une amélioration de la demande chez le plus grand consommateur de carburant au monde.
La Maison Blanche a également été vue en train d’acheter plus de 3 millions de barils de pétrole pour reconstituer la réserve stratégique de pétrole.
Outre la diminution des stocks américains, les attaques dévastatrices de l’Ukraine contre une raffinerie de carburant russe clé ont menacé de perturber l’approvisionnement en carburant dans certaines parties d’Asie et d’Europe, présentant ainsi des perspectives d’approvisionnement plus tendues pour les marchés pétroliers.
Ceci, associé aux perturbations géopolitiques persistantes au Moyen-Orient, en particulier la guerre entre Israël et le Hamas et les frappes des Houthis en mer Rouge, laisse présager un resserrement des marchés pétroliers dans les mois à venir.
Les espoirs de demande soutenus par les prévisions de l’OPEP et de l’AIE
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et l’Administration internationale de l’énergie prévoient une forte demande de pétrole en 2024 et 2025, dans des rapports mensuels distincts publiés cette semaine.
L’AIE a notamment revu à la hausse ses prévisions de demande pour 2024 et a déclaré que l’approvisionnement en carburant allait probablement encore se resserrer, à mesure que les perturbations au Moyen-Orient se poursuivaient.
Mais l’AIE a averti que le ralentissement de la croissance économique à travers le monde continue de constituer un frein à la demande de pétrole. L’avertissement de l’AIE tient également compte des inquiétudes concernant des taux d’intérêt plus élevés à long terme en 2024.