Customize this title in frenchLes réseaux sociaux « ne répondent pas » aux demandes de désinformation avant les élections slovaques (rapport)

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Les demandes des autorités slovaques demandant à Meta de supprimer les contenus trompeurs et trompeurs avant les élections de fin septembre ont rencontré une réponse inadéquate et inefficace, selon un rapport sur la désinformation, qui appelle également à une solution à l’échelle de l’UE pour forcer Telegram à se conformer à des demandes similaires, publiées par le Centre de lutte contre les menaces hybrides du ministère de l’Intérieur.

Lors de la rédaction du rapport, le centre du ministère a surveillé Facebook, YouTube, TikTok et Telegram de Meta entre mai et septembre. Le centre a transmis des contenus trompeurs et trompeurs au Conseil slovaque des services médiatiques, demandant aux plateformes de les supprimer.

« Malgré les déclarations des représentants des réseaux sociaux et des plateformes en ligne selon lesquelles ils étaient prêts à empêcher l’influence des élections en diffusant de la désinformation, leur réponse aux notifications envoyées a été lente, inefficace et surtout insuffisante », écrit le rapport.

Meta n’a « notamment » pas réussi à supprimer en temps opportun les publications contenant des allégations manifestement fausses et trompeuses, permettant ainsi au contenu d’être partagé davantage, a-t-il ajouté.

Dans son rapport, le Centre a également souligné des incohérences dans les décisions de Meta de retirer ou de conserver des contenus, comme la vidéo deepfake de Michal Šimečka, leader de la Slovaquie progressiste, et de la journaliste Monika Tódová, dans laquelle ils semblaient conspirer pour manipuler les résultats des élections, ce qui, selon le rapport, « a eu un impact significatif sur la crédibilité des élections ».

Alors que le conseil a soumis un total de 48 réclamations à Meta concernant la vidéo deepfake, la plateforme en a supprimé 13, en a signalé 13 comme fausses, mais a autorisé 22 à rester en ligne.

Le Centre note également que la vidéo peut toujours être visionnée sur Telegram bien que la société de médias sociaux ait reçu une demande du Conseil slovaque des services des médias. Alors que ces élections étaient censées être les premières à être couvertes par la loi européenne sur les services numériques (DSA), Telegram n’est pas soumis à ses obligations.

« Le fait que la plateforme en ligne Telegram soit manifestement devenue une source majeure de diffusion d’informations trompeuses et fausses ayant un impact sur le déroulement des élections, mais qu’elle ne soit pas soumise aux obligations du DSA, ni signataire du Le code de bonnes pratiques en matière de désinformation constitue un problème très grave », déclare le centre, ajoutant que la situation nécessite « une solution plus globale au niveau de l’UE ».

(Barbara Zmusková | Euractiv.sk)

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