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L’UE constate une augmentation du nombre d’abeilles élevées commercialement, la Roumanie en tête.
Le nombre de ruches commerciales dans les exploitations augmente malgré la menace qui pèse sur certaines espèces d’abeilles, révèlent les dernières données d’Eurostat.
Le nouveau rapport identifie plus de huit millions de ruches dans les exploitations agricoles de l’UE en 2020, soit une augmentation de plus d’un million par rapport aux chiffres précédents.
Le décompte ne comprend que les ruches des exploitations agricoles, ce qui exclut les abeilles élevées dans des exploitations familiales ou dans des ruchers individuels. Et il y a quelques bizarreries : l’Allemagne, par exemple, ne compte pas ruches dans le cadre d’une ferme, et a donc un compte de zéro dans les derniers chiffres disponibles.
Les abeilles sont un gros business en Europe
On estime que les pollinisateurs, y compris les abeillesles bourdons et les abeilles sauvages, apportent chaque année au moins 22 milliards d’euros à l’industrie agricole européenne.
Plus de 80 % de la pollinisation des cultures et des plantes sauvages en Europe se produit avec l’implication directe ou indirecte de les abeillesselon Eurostat.
Malgré leur importance, une personne sur dix abeille et les espèces de papillons sont actuellement menacées d’extinction et une révision de l’Initiative de l’UE sur les pollinisateurs de 2018 vise à inverser le « déclin alarmant ».
Quel pays de l’UE a le plus de ruches ?
Au niveau national, la Roumanie comptait 1,5 million ruches dans les fermes, conservant son statut de principale capitale européenne de la production de miel.
L’Italie et la Grèce avaient encore un million ruches dans les fermes en 2020, suivi par l’Espagne, la Bulgarie et le Portugal.
L’Espagne et le Portugal, en particulier, représentaient deux des plus grands nombres de ruches dans les exploitations agricoles de l’UE. L’Estrémadure espagnole comptait plus de 300 000 ruches, suivie de la région portugaise de Norte avec plus de 250 000 ruches dans les fermes.
Le décompte, cependant, ne brosse qu’un tableau partiel puisque la Belgique, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays-Bas, la Finlande et la Suède n’avaient pas un nombre significatif de ruches dans les exploitations.