Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsMarine Le Pen célèbre une « victoire idéologique » après que le président Emmanuel Macron a combattu la division au sein de son parti pour faire adopter un projet de loi strict sur l’immigration.Le Parlement français a adopté mardi un projet de loi renforçant les règles d’immigration, malgré une rébellion au sein du parti au pouvoir après que le projet de loi ait été soutenu par l’extrême droite.Le Pen, triple candidate à la présidentielle qui dirige les législateurs du RN au parlement et qui devrait se présenter à nouveau à la présidentielle en 2027, a approuvé le nouveau projet de loi.Mais des membres clés de gauche du Parti Renaissance de Macron et des factions alliées ont indiqué qu’ils ne pouvaient plus le soutenir, plusieurs ministres ayant apparemment menacé de démissionner.Le Pen a déclaré que le projet de loi était une victoire, même pour son Rassemblement national. Elle a annoncé qu’elle soutiendrait le projet de loi après que le président ait accepté d’accorder des avantages aux migrants après cinq ans de résidence. Les migrants légaux reçoivent actuellement des prestations de l’État après six mois.Divers amendements ont renforcé les mesures d’immigration depuis le dépôt initial du projet de loi, la gauche accusant le gouvernement de céder aux pressions de l’extrême droite. Marine Le Pen est trois fois candidate à la présidentielle et dirige les députés du RN au parlement et devrait se présenter à nouveau à la présidentielle en 2027. Le Pen écoute mardi un débat sur le nouveau projet de loi sur l’immigration à l’Assemblée nationale Emmanuel Macron a combattu les divisions au sein de son parti pour faire adopter le dur projet de loi sur l’immigration La chambre basse a voté en faveur du projet de loi à une large majorité, le parti au pouvoir n’ayant finalement pas besoin du soutien du Rassemblement national (RN) d’extrême droite de Marine Le Pen pour faire adopter le projet de loi. »Nous pouvons nous réjouir d’une avancée idéologique, d’une victoire idéologique même pour le Rassemblement national (RN), puisqu’elle est désormais inscrite dans la loi comme une priorité nationale », a déclaré Le Pen. Le RN avait précédemment déclaré qu’il voterait contre le projet de loi ou s’abstiendrait. Les médias français ont qualifié cette décision surprise de « baiser mortel » pour le parti de Macron.Le projet de loi avait été rejeté sans même avoir été débattu à l’Assemblée nationale la semaine dernière, un coup dur pour Macron.La chambre haute du Sénat avait également adopté auparavant le projet de loi, qui a ensuite été adopté par la chambre basse avec 349 voix pour et 186 contre.L’éminent député de gauche de la Renaissance, Sacha Houlie, avait déclaré qu’il voterait contre le projet de loi et avait appelé les autres à suivre, certaines sources affirmant qu’une trentaine de députés pro-Macron le feraient.Signe de la gravité de la situation, Macron a convoqué une réunion de son parti au pouvoir à l’Elysée avant le vote, ont indiqué des sources du parti.Selon un participant à la réunion, Macron a déclaré qu’il soumettrait le projet de loi à une nouvelle lecture plutôt que de le promulguer s’il était adopté uniquement avec l’aide des voix du RN de Le Pen.Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau, la ministre de l’Enseignement supérieur Sylvie Retailleau et le ministre du Logement Patrice Vergriete ont rencontré la Première ministre Elisabeth Borne et l’ont averti qu’ils pourraient démissionner, ont indiqué des sources.Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, un ambitieux de 41 ans qui a dirigé le projet de loi, avait averti dimanche que Le Pen risquait de remporter l’élection présidentielle de 2027 si le projet de loi n’était pas adopté. Le Pen s’exprime lors d’une séance de questions au gouvernement à Paris le 5 décembre Le Pen serre la main du président Emmanuel Macron après un entretien à l’Elysée, à Paris, le 21 juin 2022, deux jours après les élections législatives françaises.Il n’était pas clair dans l’immédiat si les ministres démissionneraient quand même après l’adoption de la législation. Macron devait donner une interview télévisée mercredi.La gauche et l’extrême gauche ont réagi avec horreur à la perspective de l’adoption de la loi, le chef des députés socialistes à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud, la qualifiant de « grand moment de déshonneur pour le gouvernement ».L’adoption de la législation était essentielle pour Macron, qui ne peut pas se représenter en 2027 après deux mandats consécutifs et risque d’être considéré comme un canard boiteux à plus de trois ans de son mandat.Le gouvernement ne dispose plus de majorité au Parlement depuis les élections législatives qui ont suivi sa réélection en 2022. »La crise politique autour du projet de loi sur l’immigration est un moment de vérité où se confondent toutes les fragilités du mandat d’Emmanuel Macron », estime le quotidien Le Monde dans un éditorial.Des dizaines d’ONG ont critiqué ce qu’elles ont décrit comme la loi sur l’immigration potentiellement « la plus régressive » depuis des décennies.Il s’agit du projet de loi « le plus régressif des 40 dernières années pour les droits et les conditions de vie des étrangers, y compris ceux résidant de longue date en France », ont déclaré une cinquantaine d’associations, dont la Ligue française des droits de l’homme, dans un communiqué commun. »Avec ce texte directement inspiré des pamphlets du RN contre l’immigration, nous sommes confrontés à un basculement de l’histoire de la république et de ses valeurs fondamentales », a déclaré le chef du Parti communiste français Fabien Roussel.
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