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L’inflation des prix de détail en Inde est tombée à son plus bas niveau depuis trois mois, à 5,10 pour cent, en janvier, alimentée par une hausse plus lente des prix de certains produits alimentaires, selon des données récentes.
Bien que cette baisse soit conforme aux prévisions des économistes, la Reserve Bank of India (RBI) devrait maintenir sa position prudente en matière de taux d’intérêt, étant donné que l’inflation reste supérieure à son taux cible.
« L’inflation de l’IPC s’est révélée légèrement inférieure à nos attentes », a déclaré Reuters citant Upasna Bhardwaj, économiste en chef de la banque Kotak Mahindra.
Elle a toutefois souligné les incertitudes entourant l’inflation alimentaire, qui devraient maintenir la banque centrale vigilante à court terme.
L’inflation des produits alimentaires, une composante importante du panier global des prix à la consommation, a enregistré une baisse notable en janvier, s’établissant à 8,30 pour cent contre 9,53 pour cent en décembre.
Les prix des céréales et des légumes, en particulier, ont connu une modération, offrant une lueur d’espoir pour un apaisement des pressions inflationnistes.
Malgré ces améliorations, des inquiétudes persistent quant à la volatilité des prix alimentaires, motivée par des facteurs tels que les aléas climatiques et les chocs d’offre.
Gaura Sen Gupta, économiste à IDFC First Bank, a souligné la faiblesse persistante de l’inflation immobilière, juxtaposée à une demande urbaine robuste.
La résilience économique de l’Inde est évidente, avec une croissance supérieure aux attentes au cours des derniers trimestres.
L’économie a progressé de 7,6 pour cent au cours du trimestre juillet-septembre, dépassant les prévisions précédentes.
Malgré cette dynamique de croissance, la RBI reste prudente, citant les défis persistants posés par les chocs des prix alimentaires et les tensions géopolitiques.
En réponse aux pressions inflationnistes, l’Inde a mis en œuvre des mesures telles que l’abaissement des limites de stocks de certains produits et l’imposition d’interdictions d’exportation pour stabiliser les prix.
Les économistes prévoient que ces initiatives, associées à la modération des prix alimentaires, pourraient atténuer les pressions inflationnistes dans les mois à venir.
Shilan Shah, économiste en chef adjoint des marchés émergents chez Capital Economics, s’est montré optimiste, suggérant que des réductions de taux pourraient devenir une considération au cours du second semestre.
(Avec les contributions de Reuters)