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Londres, avec ses six aéroports, est la ville la plus exposée au monde à la pollution atmosphérique provenant de l’aviation, exposant ses habitants à l’équivalent des émissions de 3,23 millions de voitures par an, selon une étude récente.
Tokyo et Dubaï suivent de près, soumettant leurs habitants à des émissions de polluants comparables à celles de 2,78 millions de voitures provenant du trafic aérien.
La nouvelle initiative de recherche qui suit la pollution de l’air et les émissions de gaz à effet de serre provenant des vols de fret et de passagers à l’échelle mondiale désigne ces trois villes comme les plus gravement touchées par la pollution atmosphérique liée à l’aviation.
Regardez : Londres est la ville la plus exposée à la pollution de l’air provenant de l’aviation
L’étude note que les 20 principaux aéroports produisent collectivement des émissions de carbone équivalentes à 58 centrales électriques au charbon.
Jo Dardenne, directeur de l’aviation chez Transport & Environment, un groupe de réflexion impliqué dans la recherche, souligne l’augmentation inquiétante de la pollution autour des aéroports chaque année, affectant des millions de personnes et entraînant des problèmes de santé.
Dardenne souligne l’urgence de s’attaquer à la croissance exponentielle du secteur, surtout à la lumière de la lente adoption des technologies propres.
Le 2024 Airport Tracker, une collaboration entre le groupe de réflexion sur les affaires mondiales ODI et Transport & Environment, met à jour les recherches de 2021, incluant désormais l’empreinte carbone du fret aérien aux côtés des vols de passagers. Il couvre les émissions d’oxydes d’azote (NOx) et de particules fines (PM2,5) de 1 300 aéroports.
L’aéroport de Dubaï apparaît comme le plus polluant au monde, responsable de 20,1 millions de tonnes d’émissions de CO2 par an, soit l’équivalent des émissions de cinq centrales électriques au charbon.
L’aéroport d’Heathrow à Londres se classe au deuxième rang en termes d’impact climatique, émettant 19,1 millions de tonnes de CO2 par an, ainsi que des émissions notables de NOx. Cependant, sa pollution aux PM2,5 le classe plus bas sur la liste.
Les critiques soutiennent que les aéroports manquent de garanties suffisantes contre la pollution, avec des inquiétudes concernant les niveaux de bruit des avions et l’absence de normes européennes sur les particules ultrafines. Les militants réclament des mesures immédiates telles que l’interdiction des vols de nuit et l’amélioration des normes sur le carburéacteur.
Sam Pickard de l’ODI souligne l’impact à long terme des choix d’infrastructures aéroportuaires sur le climat et la qualité de l’air, appelant à une sensibilisation accrue et à des restrictions sur l’expansion dans diverses parties du monde.
(Avec la contribution des agences)