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Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, a averti que l’ouverture d’autres fronts dans la guerre entre Israël et le Hamas était une « possibilité réelle » alors qu’Israël intensifiait ses attaques de représailles sur la bande de Gaza, suscitant les craintes que le conflit ne se transforme en guerre régionale.
« Avec la poursuite de l’agression, des crimes de guerre et du siège de Gaza, l’ouverture d’autres fronts est une possibilité réelle », a déclaré Amir-Abdollahian jeudi soir à son arrivée à Beyrouth, au Liban, où il s’est rendu pour rencontrer les dirigeants du groupe militant libanais. Hezbollah, selon l’agence de presse officielle iranienne IRNA.
« Je discuterai de la situation à Gaza avec les autorités libanaises », a déclaré Amir-Abdollahian. « L’Iran poursuit fermement son soutien politique et médiatique à la résistance palestinienne. »
Soutien de longue date du Hamas et du Hezbollah, l’Iran a nié toute implication dans l’incursion surprise du Hamas en Israël le week-end dernier.
La déclaration du ministre iranien intervient alors que l’armée israélienne a donné l’ordre aux civils de quitter le nord de Gaza et d’évacuer vers le sud de l’enclave palestinienne, alors que l’on s’attend de plus en plus à ce qu’Israël soit sur le point de lancer une attaque terrestre sur la bande de Gaza en représailles à l’attaque du Hamas. Plus de 1 300 personnes sont mortes en Israël lors de l’incursion du Hamas qui a débuté samedi dernier.
Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, a ordonné un « siège complet » de Gaza, limitant tout accès à la nourriture, au carburant et à l’eau aux plus de 2 millions d’habitants, tout en lançant des milliers de frappes aériennes, tuant plus de 1 500 personnes.
Les Nations Unies ont appelé Israël à faire marche arrière, un porte-parole affirmant qu’une évacuation « pourrait transformer ce qui est déjà une tragédie en une situation calamiteuse ».
Avant l’appel à l’évacuation, les États-Unis se sont joints à la France pour exhorter Israël à faire preuve de retenue dans ses représailles contre le Hamas.
Pendant ce temps, l’Égypte résiste aux appels lui demandant d’autoriser les civils à fuir Gaza en passant par sa frontière par le point de passage de Rafah, le président Abdel Fattah El-Sisi disant aux Palestiniens de « rester fermes et de rester sur place ». [their] atterrir. »
Après avoir rencontré un responsable du Hezbollah, Hassan Hoballah, vendredi matin, Amir-Abdollahian a appelé les États-Unis – un fidèle allié d’Israël – à restreindre Israël afin d’éviter un conflit régional.
« Si les Américains veulent empêcher le développement de la guerre dans la région, ils doivent contrôler Israël », a déclaré Amir-Abdollahian : selon l’agence de presse française Agence France-Presse. Téhéran entend préserver la sécurité du Liban, a-t-il ajouté.