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Bruxelles a averti le président russe Vladimir Poutine de ne pas utiliser l’attentat terroriste de Moscou comme prétexte pour intensifier sa guerre contre l’Ukraine.
Un porte-parole de la Commission européenne a déclaré lundi que l’Union européenne était « naturellement préoccupée » par les allégations de responsables russes selon lesquelles Kiev était impliquée dans Le tournage de vendredi dans une salle de concert, qui a fait au moins 137 morts et plus de 180 blessés.
Les accusations du Kremlin ont fait craindre en Europe que Poutine puisse utiliser le massacre de Moscou pour justifier une escalade en Ukraine, qui en est maintenant à sa troisième année.
« Nous rejetons cela. Il n’y a aucune indication, aucune preuve que l’Ukraine soit liée à cette attaque », a déclaré à la presse le porte-parole du bloc pour la politique étrangère, Peter Stano.
« Nous appelons les autorités russes à ne pas utiliser l’attaque terroriste à Moscou comme prétexte ou motivation pour accroître l’agression illégale contre l’Ukraine, ni comme prétexte pour accroître la répression interne contre les critiques du régime russe », a ajouté Stano. .
Une filiale du groupe État islamique (EI) basée en Afghanistan a revendiqué la responsabilité de l’attaque, qui a vu des hommes camouflés prendre d’assaut l’hôtel de ville de Crocus à Moscou et ouvrir le feu sur la foule. Cette affirmation de l’EI, que des sources du renseignement américain affirment avoir corroborée, n’a pas encore été reconnue par la Russie.
Quatre hommes, qui auraient été roués de coups, ont été accusés d’avoir commis des actes de terrorisme.
Dans un discours télévisé à la nation samedi soir, Poutine a tenté de lier l’Ukraine aux attaques odieuses, affirmant que les assaillants avaient tenté de fuir vers la frontière ukrainienne. Les critiques estiment que ces allégations constituent une tentative cynique visant à détourner l’attention de l’incapacité de la Russie à empêcher les attaques, alors qu’elle aurait été alertée d’une menace imminente par le gouvernement américain.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a fermement rejeté ces affirmations et accusé Poutine d’être resté silencieux pendant un jour après les attentats. Penser à « comment relier cela à l’Ukraine. »
Mykhailo Podolyak, conseiller de Zelensky a décrit les accusations russes comme « absolument intenable et absurde ».
L’attaque montre la vulnérabilité de la Russie
L’attaque terroriste représente un revers politique pour le président Poutine, qui, il y a quelques jours à peine, a resserré son emprise sur le pouvoir après avoir affirmé une victoire écrasante lors d’élections présidentielles qualifiées d’imposture par les pays occidentaux.
Les suggestions selon lesquelles la Russie aurait pu être plus vulnérable au terrorisme en raison de la rupture des liens internationaux suite à son invasion de l’Ukraine ont apparemment été confirmées lundi.
Interrogé pour savoir si l’UE envisagerait une coopération plus étroite avec la Russie pour lutter contre le terrorisme, le porte-parole Peter Stano a déclaré que cette coopération avait été « suspendue » après l’invasion en raison du « mépris de la Russie à l’égard du droit international humanitaire ».
Il a ajouté que si la Russie présentait une proposition « crédible » pour lutter contre le terrorisme, alors « l’Union européenne ne dirait probablement pas non ».
« Mais à ce stade, nous avons affaire à un (…) régime qui entraîne le pays, c’est-à-dire la Russie, dans une guerre illégale (et) opprime sa population avec une série de mesures », a-t-il ajouté. « Il est donc très difficile d’imaginer quelle serait la base d’une coopération ».
Les condoléances ont afflué de la part des dirigeants européens, qui ont exprimé leur solidarité avec les victimes mais se sont abstenus de s’adresser à Poutine ou d’exprimer leur soutien à son gouvernement.
L’attaque a également conduit la France à élever son alerte terroriste au plus haut niveau d’« urgence terroriste ».