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Au moins deux douzaines d’entreprises, dont trois sociétés chinoises, devraient faire face aux dernières sanctions de l’Union européenne. Ces entreprises ont été accusées de soutenir les efforts de guerre de la Russie en Ukraine.
Selon le projet de document consulté par Bloomberg, la plupart d’entre elles sont des entreprises technologiques. Ils sont accusés de « contribuer au développement militaire et technologique de la Russie », selon le projet de document.
Si les sanctions sont adoptées, ce serait la première fois que l’UE imposerait des restrictions aux entreprises chinoises depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine en février 2022.
La liste comprend également des entreprises de Hong Kong, de Serbie, d’Inde et de Turquie, dont certaines sont ciblées pour la première fois.
Les sociétés n’ont pas été nommées pour des raisons juridiques.
Les restrictions interdiraient aux entreprises européennes de commercer avec ces sociétés cotées. La dernière action de l’UE s’inscrit dans le cadre de ses efforts visant à restreindre la capacité de la Russie à obtenir des marchandises sanctionnées via des pays non occidentaux.
Pour être adoptées, les sanctions de l’UE nécessitent le soutien de tous les États membres (27 au total).
Le bloc des 27 membres a jusqu’à présent imposé des sanctions à plus de 620 entreprises, presque toutes russes. Ces sociétés cotées importent pour la plupart des technologies et des produits électroniques interdits et les réexportent vers la Russie.
Ce n’est pas la première fois que l’Union européenne cherche à sanctionner plusieurs entreprises chinoises.
Mais les propositions précédentes ont dû être abandonnées suite à la résistance de certains États membres et après que Pékin a donné des assurances.
Sanctionner les entreprises chinoises constituerait une étape majeure dans l’histoire du bloc. L’UE compte Pékin parmi ses partenaires commerciaux les plus importants. L’Allemagne, en particulier, considère la Chine comme son plus grand marché automobile.
(Avec la contribution des agences)