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Sean « Diddy » Combs est revenu sur Instagram pour la première fois depuis que les autorités fédérales ont perquisitionné ses maisons à Holmby Hills et à Miami.
Le magnat du hip-hop et entrepreneur en difficulté est revenu sur la plateforme dimanche pour célébrer Pâques, publiant un carrousel de photos de sa plus jeune enfant, sa fille Love, dans quelques-unes de ses tenues de vacances.
«JOYEUSES PÂQUES de Baby Love», a écrit Combs, partageant les images de son septième enfant, qu’il a accueilli en 2022. Le lauréat d’un Grammy a désactivé les commentaires sur la publication.
Combs, 54 ans, partage sa fille Love avec la spécialiste de la cybersécurité Dana Tran. Il a également eu quatre enfants avec le mannequin Kim Porter, décédé en 2018 : son fils Christian « King » Combs et ses filles jumelles Jessie et D’Lila, ainsi que le fils de Porter, Quincy, issu de sa précédente relation avec le musicien Al B. Bien sûr ! Le rappeur « I’ll Be Missing You » a eu respectivement un fils Justin et une fille Chance avec la styliste-créatrice Misa Hylton et son amie Sarah Chapman.
Le message précédant la missive de Pâques de Combs est daté du 16 mars et présente le producteur de disques posant avec ses trois filles aînées, Jessie, D’Lila et Chance Combs. Il a sous-titré cette photo « The Combs Girls ».
Deux des fils du cofondateur de Bad Boy Records ont été brièvement détenus dans la propriété de Holmby Hills. Combs n’a parlé publiquement que par l’intermédiaire de son avocat depuis les raids bicôtiers du 18 mars, menés par Homeland Security Investigations dans le cadre d’une enquête en cours sur le trafic sexuel à New York. Combs a également été poursuivi à plusieurs reprises depuis novembre pour des accusations d’abus sexuels et de mauvaise conduite ; il a nié tout acte répréhensible.
Son avocat, Aaron Dyer, a qualifié mardi les raids de « chasse aux sorcières » et de « recours excessif à la force militaire » alors que des mandats de perquisition ont été exécutés à son domicile.
« Cette embuscade sans précédent – associée à une présence médiatique avancée et coordonnée – conduit à une précipitation prématurée vers le jugement de M. Combs et n’est rien de plus qu’une chasse aux sorcières basée sur des accusations sans fondement formulées dans le cadre de poursuites civiles. Aucune responsabilité pénale ou civile n’a été retenue pour aucune de ces allégations.