Customize this title in frenchDe cette façon, l’échange de chaleur doit être favorisé

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Au: 19/04/2023 17:55 Les consommateurs ne doivent pas être laissés seuls face aux coûts d’un chauffage respectueux du climat. Le gouvernement fédéral promet un soutien aux allocataires sociaux – et veut en même temps favoriser les propriétaires fortunés. Par Daniel Pokraka, ARD Capital Studio À l’avenir, l’État vous accordera jusqu’à 50 % si vous installez un chauffage respectueux du climat dans votre maison. Il est difficile de dire exactement qui a droit à combien de financement en termes généraux. Peu de choses dépendent autant du cas individuel que la question de savoir qui vit, comment, chauffe et est éligible. Logo BR Daniel Pokraka ARD Capital Studio En principe, il devrait y avoir une subvention de 30 % pour tous ceux qui échangent un ancien système de chauffage à combustible fossile contre un nouveau système de chauffage respectueux du climat, comme une pompe à chaleur, dans leur logement occupé par leur propriétaire. Dans le cas des appareils de chauffage au gaz, qui pourront également fonctionner à l’avenir avec de l’hydrogène, seuls les coûts supplémentaires nécessaires pour rendre l’appareil de chauffage adapté à l’hydrogène sont couverts. Plans gouvernementaux « prime climat I, II et III » En outre, le ministre de l’Économie Robert Habeck et la ministre du Bâtiment Klara Geywitz prévoient trois « primes climatiques » ; Les consommateurs devraient pouvoir bénéficier d’au plus l’une d’entre elles. Les « primes climat » ont un volet social et visent à accroître l’incitation des propriétaires de très vieux radiateurs à les remplacer. La « prime climatique I » de 20 % (en plus des 30 % qui devraient exister de toute façon) devrait profiter à ceux qui n’ont pas encore besoin de remplacer leur chauffage, mais le font quand même. Cela s’applique aux allocataires d’allocations sociales liées aux revenus (qui sont en fait exonérés de l’obligation de remplacement) ou aux propriétaires d’installations de chauffage au charbon, au fioul ou au gaz qui ont plus de 30 ans mais qui n’ont pas encore besoin d’être remplacées. Politique énergétique et climatique : le Cabinet approuve la loi sur les échanges de chauffage Justus Kliss, ARD Berlin, journal quotidien à 20h00, 19 avril 2023 Bonus pour échange antérieur Le « bonus climatique II » s’élève à dix pour cent et s’adresse aux consommateurs qui doivent remplacer leur chauffage mais le font cinq ans plus tôt que nécessaire. Même s’ils utilisent au moins 70 % d’énergie renouvelable avec le nouveau système de chauffage, ils devraient toujours pouvoir bénéficier du « Climate Bonus II ». Les ministres Habeck et Geywitz s’attendent apparemment à un plus grand nombre d’utilisateurs potentiels des « primes climatiques I et II ». Afin de ne pas surcharger les entreprises artisanales et les chauffagistes, l’application doit être échelonnée dans le temps. Dans un premier temps – à partir de 2024 – le remplacement des radiateurs d’au moins 40 ans est éligible, à partir de 2025 le remplacement des appareils d’au moins 35 ans et à partir de 2026 de tous les radiateurs de plus de 30 ans. Des prêts « à taux réduits » en plus des subventions Le « prime climatique III » s’applique aux appareils de chauffage qui ont moins de 30 ans, qui tombent en panne et ne peuvent plus être réparés. Cependant, les consommateurs qui veulent profiter de ce bonus doivent atteindre la part légale des énergies renouvelables de 65 % après seulement un an (au lieu de trois) avec le nouveau système de chauffage. Pour de nombreux propriétaires, changer de système de chauffage risque d’être une prouesse financière malgré cette subvention. Habeck et Geywitz promettent donc également des « prêts à faible taux d’intérêt avec des subventions de remboursement », quels que soient leurs revenus ou leurs besoins. Il en va de même pour les « primes climatiques »: le concept de soutien du gouvernement ne fait aucune mention de chèques de patrimoine ou de revenus. Le gouvernement « n’a pas pu s’entendre » sur la volonté d’effectuer des tests de patrimoine ou de revenu en matière de financement. Image : photo alliance / Zoonar Financement sans chèques de patrimoine ou de revenus Habeck avait à l’origine d’autres projets : en mars, il a signalé qu’il n’avait guère envie d’aider des multimillionnaires avec quelques villas lors du remplacement du système de chauffage. Aujourd’hui, le politicien des Verts a déclaré que le financement était ouvert au sommet ; le gouvernement « n’a pas pu accepter d’effectuer un examen des revenus ». On peut supposer que le ministre des Finances Lindner en particulier ne voulait pas cela. Après tout, un tel examen impliquerait probablement un certain effort bureaucratique pour les autorités. Lindner a approuvé aujourd’hui la loi sur le chauffage de Habeck et Geywitz au cabinet, mais a ajouté une déclaration supplémentaire : d’une part, il s’inquiète de l’applicabilité de la loi et d’une éventuelle surcharge des citoyens et, d’autre part, de la conséquences pour son ménage. Le gouvernement ne connaît pas le coût total de la subvention En fait, on ne sait toujours pas combien la subvention de base et les « primes climatiques » coûteront réellement à l’État. L’argent doit être payé à partir du fonds pour le climat et la transformation et contourne ainsi le budget fédéral, mais Habeck, Geywitz et d’autres n’ont pas nommé de somme aujourd’hui. Juste ce montant : la somme est « gérable », a déclaré Habeck, bien que le chef du SPD, Lars Klingbeil, ait précédemment déclaré que « des sommes massives seraient dépensées pour promouvoir le passage au chauffage ».

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