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Dans un pas en avant pour le secteur spatial privé indien, SpaceX a lancé un satellite d’imagerie de la Terre assemblé et testé en Inde, par une entreprise du groupe Tata. Le satellite « TSAT-1A » a été lancé dans le cadre de la mission Bandwagon-1, lancée par la fusée Falcon 9 de SpaceX depuis le complexe de lancement 39A du Kennedy Space Center, en Floride, aux États-Unis, à 23 h 16 UTC le 7 avril.
Fruit d’un effort de collaboration entre la société indienne Tata Advanced System Limited (TASL) et la société étrangère Satellogic, le TSAT-1A a été assemblé dans les installations d’assemblage, d’intégration et de test (AIT) du groupe Tata à Vemagal, Karnataka. En novembre 2023, TASL et Satellogic avaient signé un accord pour développer et intégrer un satellite avancé d’observation de la Terre.
TSAT-1A est un satellite à résolution inférieure au mètre, ce qui signifie qu’il produit des images où il est possible de distinguer clairement des objets distants de moins d’un mètre. Les satellites utilisés à des fins de défense et stratégiques ont des résolutions comprises entre un mètre et même 30 centimètres ou moins. Cela permet de distinguer clairement même les plus petits objets et de tirer un maximum d’informations de l’image.
« Cette étape importante montre l’engagement de TASL envers le secteur spatial. C’est une première étape. Nous sommes reconnaissants du soutien que nous avons reçu de diverses autorités du gouvernement indien pour les autorisations requises », a déclaré Sukaran Singh, PDG et directeur général de TASL.
En 2020, le gouvernement indien a lancé des réformes dans le secteur spatial réservé au gouvernement et a autorisé les entreprises privées à entreprendre des activités spatiales de bout en bout. Il s’agit d’une mesure visant à accroître la part globale de l’Inde dans l’économie spatiale mondiale lucrative. Dans le cadre des réformes, les entreprises privées sont autorisées à concevoir, construire et lancer leurs propres satellites et fusées, et à proposer des services spatiaux.
Avant les réformes, seule l’agence spatiale gouvernementale indienne était autorisée à mener des activités spatiales de bout en bout, tandis que les entreprises privées ne pouvaient fournir du matériel et des services qu’à l’Organisation indienne de recherche spatiale (ISRO).
Dans le but de stimuler l’industrie locale, les startups et de l’ouvrir aux entités étrangères, le gouvernement indien a également récemment autorisé les investissements directs étrangers dans le secteur spatial du pays.