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Aucun des deux candidats n’a franchi la barre des 50% pour une victoire pure et simple le 14 mai, déclenchant un second tour sans précédent.
Le président Recep Tayyip Erdogan a été réélu, selon les résultats non officiels de l’agence publique Anadolu. Avec 99% des urnes ouvertes lors du second tour, Erdogan a 52,07% des voix et le challenger Kemal Kilicdaroglu a 47,93%.
Les résultats sont présentés ci-dessous dès qu’ils sont disponibles.
Carte des résultats :
Résultats du premier tour
Erdogan a obtenu 49,52 % des voix du 14 mai, tandis que Kilicdaroglu a obtenu 44,88 %.
Un troisième candidat nationaliste, Sinan Ogan, a obtenu 5,17 % des voix et a ensuite soutenu Erdogan pour le second tour.
Selon l’agence Anadolu, 88,84 % des 64 millions d’électeurs turcs éligibles ont voté au premier tour.
Survolez chaque province pour voir comment chaque candidat s’est comporté au premier tour.
Erdogan contre Kilicdaroglu
L’Alliance populaire au pouvoir en Turquie et l’Alliance des nations d’opposition diffèrent dans plusieurs domaines clés. Voici une ventilation de leurs politiques et promesses :
Recep Tayyip Erdogan, 69 ans
Adalet ve Kalkınma Partisi (Parti de la justice et du développement, également connu sous le nom de Parti AK)
Candidat de l’Alliance populaire
- Le président actuel a eu 20 ans au pouvoir, dont neuf en tant que président et 11 en tant que Premier ministre, de 2003 à 2014.
- Il a été maire d’Istanbul de 1994 à 1998.
- Il brigue désormais un troisième mandat présidentiel consécutif.
- Il s’agit de son élection la plus difficile au milieu des difficultés économiques et des dommages causés par le tremblement de terre.
Kemal Kılıçdaroğlu, 74 ans
Cumhuriyet Halk Partesi (CHP ou Parti républicain du peuple)
Candidat de l’Alliance nationale
- Il a dirigé le CHP pendant plus d’une décennie.
- Avant d’entrer en politique, il était spécialiste du ministère des Finances et a présidé l’Institution d’assurance sociale pendant la majeure partie des années 1990.
- Il a présidé une série de défaites électorales au CHP, mais se présente comme candidat de l’unité pour l’Alliance nationale à six avec le soutien du deuxième plus grand parti d’opposition de Turquie, le HDP pro-kurde.
- Il promet de ramener la Turquie à un « système parlementaire fort ».