Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words CRITIQUES DE FILMS 19 mai 2023 à 22h28 A Cannes, le drame d’Auschwitz « La zone d’intérêt » du réalisateur Jonathan Glazer concourt pour la Palme d’or. Nous avons vu le film et pouvons vous dire si « The Zone of Interest » avec Sandra Hüller vaut le détour ! Sandra Hüller est connue de la plupart des cinéphiles de « Toni Erdmann ». L’actrice est désormais à l’affiche de The Zone of Interest du réalisateur britannique Jonathan Glazer, en lice pour la Palme d’or au Festival de Cannes 2023. À ses côtés se trouve la star de « Babylon Berlin », Christian Friedel. Le film parle d’un garde d’Auschwitz qui a construit une vie avec sa famille juste à côté du camp de concentration, mais ensuite il est envoyé dans une autre ville d’en haut. Sa femme ne veut pas renoncer à la vie qu’elle s’est bâtie à Auschwitz. Jonathan Glazer a réalisé un film très intéressant avec « The Zone of Interest ». Le film en compétition à Cannes est une coproduction anglo-américaine-américano-polonaise dans laquelle seul l’allemand est parlé. C’est un mélange sauvage ! Le film nous montre un monde relativement idéal et laisse toujours entendre que de mauvaises choses se produisent derrière de hauts murs. Le magnifique lotissement à côté d’Auschwitz est mis en scène de manière idyllique. Il y a des fleurs, des enfants qui jouent, les gens vivent une belle vie au bord des lacs et des prairies. Cependant, Jonathan Glazer continue de jeter des choses qui nous rappellent que nous regardons en fait un film sur les nazis qui se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale. Des nuages de fumée, des nazis sur des scooters ou les hauts murs du camp de concentration d’Auschwitz sont souvent visibles en arrière-plan. Une caractéristique commune de « The Zone of Interest » est de filmer contre un mur obscurci par de belles choses. Il n’est pas rare que les événements soient délimités visuellement par des encadrements de portes ou des arcades. Sur les bords de l’image, principalement dans le tiers supérieur, on devine ce qui se cache derrière la si belle façade. Si vous découpiez le tiers supérieur de l’image et le remplaciez par un ciel bleu, « The Zone of Interest » pourrait presque être un film intemporel dans lequel la paix, la joie et les crêpes règnent autant que possible. Glazer cache non seulement les crimes qui ont lieu dans le camp de concentration derrière de hauts murs, mais aussi d’autres problèmes de nos protagonistes à travers sa façon de raconter l’histoire. « La zone d’intérêt » pourrait aussi s’appeler « Derrière les portes closes » ou « Derrière la façade », car cela s’applique aussi bien métaphoriquement que littéralement au décor du film. Il s’agit de ne pas dire les choses, de les ignorer et finalement de les oublier. Ou : Glazer avertit de ne pas oublier ! Le film demande à être analysé plus en détail. Ceux qui ne peuvent pas s’impliquer verront un morceau sec qui est dur. Quiconque veut jeter un coup d’œil derrière la façade s’amusera beaucoup avec « La zone d’intérêt ». Mais s’amuser ne veut pas dire « rire » ici. Au final, le film de Jonathan Glazer est toujours saisissant et assez clair, malgré toutes ses forces et ses subtilités d’interprétation. Nous ne voulons pas anticiper davantage en termes de contenu. Au final, cependant, le film n’avait pas vraiment besoin de nous mettre le sujet à la figure comme ça. « The Zone of Interest » est en compétition avec des films comme « Monster » pour la Palme d’Or au Festival de Cannes de cette année. Bien que nous ne pensions pas que le film gagnera, nous ne serions pas trop surpris s’il était présélectionné. Le réalisateur Jonathan Glazer vous invite à regarder derrière la façade !Il y a très peu à voir du camp de concentration d’Auschwitz. Glazer nous laisse seulement imaginer les atrocités là-bas et les peindre dans nos têtes. En ne regardant pas derrière la façade et en nous montrant plutôt un microcosme dans lequel une famille allemande fait la belle vie aux portes d’Auschwitz, le réalisateur nous invite d’autant plus à y réfléchir. Une œuvre impressionnante à plusieurs niveaux, qui devient malheureusement un peu trop frappante au final.classification d’âgeà partir de 12 ansDurée106 minuteslibérer19 Mai 2023Scène post-crédit✘professionChristian FridelRudolf HössMaximilien Beck-Ralph Herforth-Sandra HuellerHedwig Hoss Qui diffuse La zone d’intérêt? Acheter et louer La Zone d’Intérêt genre direction scénario producteurs Ewa Puszczyńska Jacques Wilson Tessa Ross sociétés de production Film4 Productions A24 Émotions extrêmes Productions maison Films JW Plus de ressources Ne manquez rien avec le RÉSEAU-Bulletin Tous les vendredis : le résumé le plus informatif et divertissant du monde de la technologie !
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