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- Un juge fédéral a limité mardi les contacts des responsables de Biden avec les plateformes sociales, selon le NYT.
- Deux procureurs généraux du GOP ont fait valoir que l’administration avait violé le premier amendement.
- La décision serait un revers majeur dans les efforts des fonctionnaires fédéraux pour lutter contre la désinformation en ligne.
Un juge fédéral a empêché mardi les principaux responsables de l’administration Biden de communiquer et de rencontrer des sociétés de médias sociaux concernant des quantités importantes de contenu sur leurs plateformes, ce qui pourrait limiter les efforts pour démystifier les fausses déclarations en ligne, selon le New York Times.
L’injonction est intervenue en réponse à une action en justice intentée par les procureurs généraux républicains de Louisiane et du Missouri, qui ont fait valoir que le gouvernement avait outrepassé son autorité en poussant les entreprises de médias sociaux à lutter contre les messages trompeurs qui, selon les responsables, pourraient diffuser des informations incorrectes sur les vaccinations contre le COVID-19 ou les résultats des élections. .
Les procureurs généraux Jeff Landry et Andrew Bailey, de Louisiane et du Missouri, respectivement, ont déclaré dans leur dossier que les actions du gouvernement visant à lutter contre la désinformation liée aux coronavirus étaient « les violations les plus flagrantes du premier amendement de l’histoire des États-Unis d’Amérique ». . »
Dans l’injonction, le juge du tribunal de district américain Terry A. Doughty du district ouest de la Louisiane – qui n’a pas encore rendu de décision dans l’affaire – a écrit que les procureurs généraux républicains « ont produit la preuve d’un effort massif des défendeurs, du White Chambre aux agences fédérales, pour supprimer le discours en fonction de son contenu. »
La décision a des implications dramatiques pour les entreprises technologiques, qui parlent souvent avec des représentants du gouvernement tout au long des élections et des urgences nationales.
Dans la décision, Doughty – qui a été nommé à la magistrature par l’ancien président Donald Trump – a prévu plusieurs exceptions permettant des pourparlers entre le gouvernement et les entreprises, qui incluraient des responsables informant les plateformes des menaces à la sécurité nationale, des activités criminelles ou des efforts étrangers qui pourraient jeter une élection aux États-Unis.
La décision sera probablement portée en appel par l’administration Biden, a indiqué le Times. La Maison Blanche et plusieurs grandes entreprises technologiques n’ont pas immédiatement répondu à la demande de commentaires du Times.