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Un Indien de 30 ans, identifié comme Mohammed Asfan, est décédé en Russie, ont annoncé des responsables mercredi 6 mars. Il aurait été contraint de combattre aux côtés de l’armée russe contre l’Ukraine dans le cadre de la guerre en cours. Les autorités indiennes n’ont fourni aucun détail sur les circonstances de sa mort.
Des rapports locaux indiquent que la famille d’Asfan a récemment contacté Asaduddin Owaisi, homme politique indien et chef du All India Majlis-e-Ittehadul Muslimeen (AIMIM), pour le ramener de la zone de guerre.
Selon certaines informations, lorsqu’Owaisi a contacté les responsables de l’ambassade indienne à Moscou, ils ont confirmé que l’homme, originaire de la ville d’Hyderabad, avait été tué.
L’ambassade indienne à Moscou a contacté X (anciennement connu sous le nom de Twitter) pour l’informer que les autorités sont en contact avec la famille d’Asfan pour envoyer sa dépouille mortelle en Inde.
« Nous avons appris la mort tragique d’un ressortissant indien, Shri Mohammed Asfan. Nous sommes en contact avec la famille et les autorités russes. La mission s’efforcera d’envoyer sa dépouille mortelle en Inde », écrit le communiqué.
Des rapports récents ont souligné que de nombreux Indiens ont été recrutés comme agents de sécurité dans l’armée russe et qu’ils ont même été forcés de combattre aux côtés des soldats russes dans certaines zones le long de la frontière entre la Russie et l’Ukraine.
La semaine dernière, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Randhir Jaiswal, a déclaré à New Delhi que les autorités faisaient de leur mieux pour obtenir une « libération anticipée » d’une vingtaine de ressortissants indiens qui travaillent comme personnel de soutien de l’armée russe.
Jaiswal a déclaré : « Nous croyons comprendre qu’une vingtaine de personnes (Indiens) sont allées là-bas pour travailler comme personnel de soutien ou comme assistants dans l’armée russe. Nous faisons de notre mieux pour leur libération rapide. »
Jaiswal avait déclaré que « une vingtaine de personnes » avaient contacté l’ambassade indienne à Moscou.
(Avec la contribution des agences)