Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Appuyez sur play pour écouter cet article Exprimé par l’intelligence artificielle. FRANCFORT — La Banque centrale européenne fête ses 25 ans. La course a été folle. POLITICO a passé en revue les 25 moments les plus excitants au fil des ans. 1998 : Une nouvelle aube lumineuse La BCE est établie, les dirigeants de l’UE approuvant solennellement la composition de son premier conseil d’administration et de son conseil des gouverneurs. Le moment est quelque peu gâché car un correcteur orthographique de fil de presse – pendant quelques minutes glorieuses jusqu’à ce qu’un éditeur le remarque – transforme Tommaso Padoa-Schioppa, Sirkka Hämäläinen et Klaus Liebscher en Thomas Pad-Stopper, Sirocco Hemline et Klaus Lobster, respectivement. Réunion de la sous-commission des affaires monétaires | PE 2000 : « Dim Wim » Le premier président de la BCE, Wim Duisenberg, apprend les réalités de la communication à la dure : l’euro atteint un plus bas historique en dessous de 85c pour le dollar américain après qu’il a nonchalamment exclu toute intervention pour le soutenir. Wim Duisenberg | PE 2001 : Le cheval de Troie La Grèce rejoint l’euro le 1er janvier, marquant la première expansion d’une union monétaire qui s’est depuis étendue à 20 États membres. L’adhésion de la Grèce est un triomphe de la politique et de l’euro-symbolisme sur l’économie et conduira à une crise massive menaçant la viabilité de la monnaie unique une décennie plus tard. Illustration par Ellen Boonen pour POLITICO 2002 : Dans ta poche Le soir du Nouvel An 2002, les citoyens de toute l’Europe font la queue pour les premiers billets en euros. Parmi eux, Christine Lagarde, avec des amis qui doutent que le plus gros changement de caisse de l’histoire se passe sans encombre. « Nous avons fait un pari », a rappelé aujourd’hui le président de la BCE : « si la machine nous donnait des francs français au lieu de billets en euros, ils pourraient garder l’argent ». Ce n’était pas le cas. Lagarde garde ses €€€. Michel Porro/Getty Images Sean Gallup/Getty Images 2003 : JCT Jean-Claude Trichet déménage à Francfort dans le cadre d’un accord en coulisses en vertu duquel Duisenberg démissionne après seulement quatre ans. Comme chez sa compatriote Christine Lagarde. Trichet a dû surmonter des problèmes juridiques en France, après avoir été blanchi pour des accusations de fausse comptabilité découlant du flirt du Crédit Lyonnais avec l’effondrement au début des années 1990. Pascal Le Segretain/Getty Images 2007 : GFC commence — dans la zone euro La BCE injecte 95 milliards d’euros sur le marché monétaire dans le cadre d’une opération d’urgence, après que BNP Paribas a gelé l’accès à trois fonds liés aux obligations hypothécaires américaines subprime. La crise financière mondiale a commencé, mais il faudra plus d’un an pour atteindre son paroxysme. 2008 : Serrage dans un cataclysme La BCE relève ses taux d’intérêt à la veille de la plus grande crise financière de mémoire d’homme. Avant de se joindre à une campagne mondiale de baisse des taux en octobre après la disparition de Lehman Brothers, Trichet & Co. sont obsédés par la hausse des prix du pétrole plutôt que par l’effondrement du système financier américain. La BCE continue de commettre une erreur de politique similaire lorsqu’elle a relevé les taux d’intérêt en avril 2011, ignorant les sonnettes d’alarme de la périphérie de la zone euro. Le double demi-tour laisse des cicatrices durables sur la crédibilité de la BCE. Illustration par Ellen Boonen pour POLITICO 2009 : crise de la dette souveraine La GFC se transforme en une crise de la dette souveraine alors que la véritable ampleur des problèmes de la Grèce émerge. Des demandes de renflouement affluent d’Irlande, du Portugal, d’Espagne et de Chypre, menaçant la survie même de l’euro. Les mesures d’austérité imposées par la soi-disant troïka de la Commission européenne, de la BCE et du Fonds monétaire international déclenchent des bouleversements sociaux massifs. Dimitar Dilkoff/AFP via Getty Images Aris Messinis/AFP via Getty Images Louisa Gouliamaki/AFP via Getty Images 2010 : Proto-QE La BCE annonce son premier programme d’achat d’obligations d’État, laissant les banques se débarrasser de leurs obligations souveraines en euros plutôt que de risquer de perdre des milliards sur des restructurations de dettes. Dans le cadre du programme pour les marchés de titres, la BCE dépense environ 214 milliards d’euros en obligations de ce que l’on appelle avec dérision les «PIIGS» – Portugal, Italie, Irlande, Grèce et Espagne. Bien qu’éclipsé par les programmes ultérieurs, le SMP provoque un tollé massif, en particulier en Allemagne, où il est considéré comme récompensant les gouvernements dépensiers et les banquiers téméraires. 2010 : ragoût irlandais Le La BCE force l’Irlande à un renflouement en novembre. Dans une lettre secrète, plus tard déclassifiée, la BCE menace de couper le financement d’urgence du système bancaire irlandais à moins que Dublin ne demande un plan de sauvetage et n’accepte un programme d’austérité et de recapitalisation bancaire. En août 2011, le Premier ministre italien Silvio Berlusconi reçoit une lettre similaire. Le refus de Berlusconi conduira à son éviction et à l’heure du plus grand péril de la zone euro un an plus tard. 2011 : Baisse du taux Le président de la Bundesbank, Axel Weber, démissionne pour protester contre les politiques non conventionnelles de la banque centrale. Juergen Stark, membre du conseil d’administration allemand, démissionne également plus tard la même année alors que l’achat d’obligations se poursuit. La démarche de Weber est déclenchée par des signes provenant de Berlin indiquant qu’il ne le soutiendra pas pour succéder à Trichet en 2012, craignant que son approche intransigeante ne divise la zone euro. Ancien président de la Bundesbank Axel Weber | Carsten Koall/Getty Images 2011 : L’héritage de Trichet Un Trichet visiblement ému reçoit le prix Charlemagne pour son service à l’unification européenne. Alors que le projet européen semble gravement menacé, Trichet lance un appel audacieux – quoique d’un autre monde – à l’intégration fiscale. « Serait-il trop audacieux, dans le domaine économique, avec un marché unique, une monnaie unique et une banque centrale unique, d’envisager un ministère des finances de l’Union ? Douze ans plus tard, c’est encore une chimère. Oliver Berg/EPA 2011 : Entrez dans le Draghi Le chef de la banque centrale italienne s’installe à Francfort avec un large soutien – même, ne serait-ce que brièvement, de l’Allemagne. Bild-Zeitung lui remet un casque à pointe prussien pour bien faire comprendre quelle attitude vis-à-vis de l’inflation il attend de lui. Draghi a rapidement réduit les taux lors de sa première réunion politique, mettant rapidement fin à l’histoire d’amour des médias allemands. « Mamma mia », Image pleure plus tard. « Pour les Italiens, l’inflation et la vie vont de pair, tout comme les pâtes et la sauce tomate. » À la fin de son mandat, les références au «comte Draghula, en train d’aspirer nos économies» sont la norme. 2012: « Tout ce qu’il faut » En trois mots, Draghi assure sa place dans l’histoire de la banque centrale : « Dans le cadre de son mandat, la BCE fera tout ce qui est en son pouvoir pour sauver l’euro », a déclaré Draghi à un public londonien alors qu’il craignait que l’Italie ne fasse défaut et que l’ensemble de la zone euro n’explose. « Croyez-moi, cela suffira. Les investisseurs le croient, et la BCE sort la crise sans avoir à dépenser un seul centime dans le cadre d’un nouveau programme d’achat d’obligations (« Outright Monetary Transactions »), mis en place face à la forte résistance allemande. Mario Draghi | Daniel Roland/AFP via Getty Images 2012 : « Nein zu allem » Draghi s’en prend aux reproches constants du chef de la Bundesbank, Jens Weidmann. Utilisant l’une des rares expressions allemandes qu’il maîtrise, Draghi déclare à un public berlinois que « Nein zu allem » ou « non à tout » n’est pas une solution et met en péril l’intégrité de l’union monétaire. Insoumis, Weidmann compare le programme OMT à la tragédie Faust de Goethe, où Méphistophélès provoque une hyperinflation en persuadant le Saint Empereur romain d’imprimer du papier-monnaie. Méphisto du Faust de Goethe 2014 : Un superviseur pour les gouverner tous La BCE assume la responsabilité de la surveillance des plus grandes banques de la zone euro. La crise financière de 2008 a mis en évidence les faiblesses des systèmes réglementaires nationaux souvent accaparés par les intérêts politiques locaux. Un système de supervision centralisé supervise un programme de recapitalisation coûteux, contribuant à des années de croissance atone. Illustration photographique…
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