Emmanuel Macron promet de relier les villes françaises à leur périphérie avec un nouveau réseau ferroviaire

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Dans un geste surprise, le président français Emmanuel Macron a annoncé son intention de développer un réseau ferroviaire urbain dans 10 grandes villes françaises, une promesse imprévue qui a surpris les élus locaux et son propre gouvernement.

Son objectif est de désengorger le trafic et de renforcer la lutte contre le changement climatique dans les grandes villes où les déplacements sont un combat quotidien. Le plan est calqué sur le RER – un réseau ferroviaire parisien reliant un système central de métro et de tramway aux banlieues de la ville pendant les heures creuses.

Macron a fait cette annonce dans une vidéo sur sa chaîne Youtube où il a répondu aux questions des gens sur le changement climatique, l’énergie, les transports, la politique des déchets et si les voitures à hydrogène étaient ou non une arnaque écologique.

Les élus locaux agréablement surpris

Les représentants locaux ont été agréablement surpris. Le 22 octobre, dans une tribune commune publiée dans Le Monde un journal. Ils ont appelé à un « nouvel accord ferroviaire » et ont depuis salué l’annonce du président.

Le maire de Lyon Grégory Doucet a tweeté : « Nous sommes prêts à #Lyon. C’est une politique dans l’intérêt de tous. Rendons le train formidable ! »

Les projets peuvent prendre dix ans pour finaliser

Dans la vidéo, Macron élude ses origines, affirmant qu’il est « le petit-fils d’un cheminot » et qu’il « croit profondément au train ». Mais cela survient quelques semaines après que le gouvernement a retiré un projet de loi d’investissement de 3 milliards d’euros pour les chemins de fer.

Certains dirigeants de l’opposition pensent que cette déclaration n’est pas synchronisée alors que certaines autorités de transport ont du mal à boucler leur budget pour 2023.

Selon le président de la région nord des Hauts-de-France, le projet du Réseau express du Grand Lille est déjà lancé, mais il attend toujours un financement de l’État.

Le gouvernement a averti que certains projets prendront « dix ans ou plus » pour être finalisés.

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