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Francfort Joachim von der Goltz, banquier du marché des capitaux du Credit Suisse, est l’un des vétérans de la banque d’investissement à Francfort. Au cours des 25 dernières années, il a organisé les principales augmentations de capital de sauvetage de Deutsche Bank, levé des capitaux pour Bayer et Infineon en bourse et mis Deutsche Post, Innogy et DWS sur le marché. Selon les milieux financiers, l’avocat de formation, qui a précédemment travaillé pour Deutsche Bank, JP Morgan et UBS, quitte désormais la banque d’investissement.
Il tourne le dos au Credit Suisse à un moment où une restructuration difficile est imminente au sein de la banque. La semaine dernière, l’institution financière suisse a annoncé des milliards de pertes et une restructuration radicale avec d’importantes suppressions d’emplois.
D’autres banquiers de premier plan, tels que le codirecteur des services bancaires mondiaux Jens Welter et le responsable des produits de crédit mondiaux Daniel McCarthy, ont également annoncé récemment leur départ.
Selon les milieux financiers, von der Goltz souhaite devenir consultant à l’avenir – également en politique. Même les conseillers politiques les plus en vue manquent souvent de solides connaissances spécialisées sur le fonctionnement des marchés de capitaux. Lors de la planification de mesures – telles que la réglementation, les taxes ou les sanctions – la réaction attendue des marchés financiers est dans certains cas insuffisamment prise en compte. Plus récemment, Liz Truss en a ressenti les effets en Grande-Bretagne, qui a déstabilisé les marchés financiers avec un paquet de réductions d’impôts et a dû démissionner.
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On a dit que von der Goltz voulait s’impliquer dans des groupes de réflexion et y apporter son expertise du marché des capitaux. Cependant, les entreprises technologiques devraient également en profiter.
Pour les start-ups, le marché boursier a perdu de son importance en tant que source de capital ces dernières années, mais aujourd’hui le financement de la phase de croissance est principalement assuré par le capital-risque privé. Entreprises de « Licorne« taille – soit une valorisation de plus d’un milliard d’euros – sont toujours à la recherche d’une introduction en bourse. Exception : cette année. Compte tenu de la forte volatilité, il n’y a pratiquement pas eu d’introductions en bourse en Allemagne, à l’exception de Porsche.
Suite: 2022 menace de devenir l’année perdue pour les introductions en bourse.
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