L’éducation aux États-Unis traverse une crise, particulièrement pour les élèves hispaniques, avec des performances académiques alarmantes. Le système éducatif, dominé par la bureaucratie fédérale, échoue à répondre aux besoins des familles. Donald Trump prône la décentralisation pour permettre aux États et aux parents de mieux adapter l’éducation. Linda McMahon est présentée comme une candidate idéale pour réformer ce système, en favorisant le choix scolaire et en allouant les ressources là où elles sont le plus nécessaires.
Un État de l’éducation en crise
Depuis trop longtemps, les enfants américains, en particulier ceux issus de milieux défavorisés, sont laissés pour compte par le Département de l’Éducation des États-Unis. Ce dernier est devenu une bureaucratie complexe qui privilégie les intérêts des élites de Washington au détriment des élèves et des familles. Le président Donald J. Trump a souligné la nécessité de démanteler ce système défaillant et de redonner le pouvoir aux États, avec Linda McMahon comme leader idéale pour mener ce changement.
Répondre aux besoins des élèves hispaniques
Notre système éducatif traverse une crise aiguë, avec les élèves hispaniques parmi les plus affectés. La dernière Évaluation nationale des progrès éducatifs révèle que les élèves n’ont pas réussi à surmonter les effets dévastateurs des fermetures d’écoles dues à la COVID-19. Actuellement, seulement 16 % des élèves hispaniques de quatrième lisent à un niveau compétent, tandis que seulement 23 % atteignent le niveau en mathématiques.
Ces chiffres témoignent d’un besoin pressant d’aborder les inégalités présentes dans notre système scolaire. La majorité de nos élèves accumulent du retard, se préparant à une existence marquée par des difficultés sur un marché du travail de plus en plus compétitif. Malgré ses objectifs initiaux d’améliorer les performances académiques, le Département de l’Éducation a concentré ses efforts sur la distribution de fonds souvent alloués à des programmes inefficaces, conduisant à une bureaucratie excessive et à des dépenses mal orientées.
Cela est particulièrement problématique pour la communauté hispanique, qui représente près de 30 % de tous les élèves de la maternelle à la terminale. Ils méritent un système éducatif qui répond à leurs besoins et non pas un modèle imposé par des bureaucrates éloignés de leurs réalités.
Le président Trump a proposé une vision audacieuse : réduire l’emprise fédérale sur l’éducation et redonner du pouvoir aux États, aux communautés locales et, surtout, aux parents. En décentralisant l’éducation, les États peuvent créer des politiques adaptées aux besoins de leurs élèves, plutôt que de se plier à des directives fédérales inadaptées.
Dans ses premiers mois, Trump a affirmé son engagement à mettre fin à l’endoctrinement dans les écoles et à élargir les opportunités éducatives pour les familles américaines. Son dévouement à protéger les enfants et à garantir l’équité dans les sports féminins est également à souligner.
Pour les familles hispaniques, ces changements sont cruciaux. L’éducation bilingue, l’expansion des écoles à charte et les programmes de choix scolaire, qui ont prouvé leur efficacité pour les élèves hispaniques, seront davantage accessibles. Avec des États bien dotés en ressources et autonomisés, les fonds peuvent être alloués là où ils sont le plus nécessaires, plutôt que d’être limités par des directives fédérales inefficaces.
Les familles hispaniques soutiennent massivement le choix scolaire, conscientes que l’éducation est la clé de l’opportunité. Un sondage a révélé que 71 % des électeurs hispaniques approuvent les initiatives de choix scolaire, y compris les écoles à charte et les programmes de bons scolaires. Les parents connaissent les meilleures solutions pour leurs enfants, et lorsque des choix sont disponibles, les enfants prospèrent. Que ce soit à travers une école axée sur les STEM, une institution privée fondée sur des valeurs solides, ou une option d’enseignement à domicile, le choix scolaire permet aux familles d’accéder à ces précieuses opportunités, peu importe leur situation financière.
Malheureusement, le Département de l’Éducation a longtemps résisté à ces initiatives, se rangeant du côté des syndicats d’enseignants plutôt que des parents. Il est grand temps de changer cette dynamique.
Linda McMahon n’est pas une politicienne de carrière, mais une femme d’affaires et une créatrice d’emplois, qui comprend le pouvoir de l’opportunité et du travail acharné. Ancienne administratrice de la Small Business Administration, elle a aidé de nombreux entrepreneurs, notamment dans les communautés hispaniques, à réaliser le rêve américain.
Consciente que l’éducation est la clé du succès, elle possède les compétences nécessaires pour éliminer les obstacles qui freinent nos enfants. Contrairement aux bureaucrates qui ont maintenu un système inefficace, McMahon est prête à le transformer. Elle a l’expérience requise pour optimiser les opérations, réduire le gaspillage, et garantir que les parents et les éducateurs locaux définissent les priorités éducatives, plutôt que les acteurs de Washington.
Les familles hispaniques valorisent le travail acharné, la foi et la famille. Nous souhaitons le meilleur pour nos enfants en leur offrant une éducation qui répond à leurs besoins spécifiques. Le système actuel a échoué, produisant des générations d’élèves en difficulté, incapables de lire à leur niveau ou de maîtriser les mathématiques de base, bloqués dans des districts scolaires défaillants.
Il est temps d’agir avec détermination. Il est temps de mettre les parents en première ligne, d’autonomiser les États, et d’offrir à chaque enfant, indépendamment de son origine, la possibilité de réussir. Avec Linda McMahon comme secrétaire de l’Éducation, nous pouvons enfin nous affranchir des contraintes de Washington et donner à nos enfants l’avenir qu’ils méritent.
Unissons nos forces, exigeons le changement, et soutenons une leader qui se battra pour les familles hispaniques et tous les élèves de cette grande nation.
Jorge Martinez est conseiller principal et stratège d’engagement hispanique pour America First Works. Il a précédemment été porte-parole du Département de la Justice des États-Unis.
Laurie Todd Smith, Ph.D., est conseillère principale pour America First Works. Elle a servi dans l’administration Trump en tant que directrice du Women’s Bureau au Département du Travail des États-Unis.
Les opinions exprimées dans ce commentaire sont celles de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement les positions officielles de l’organisation.