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Munich Le fournisseur munichois de trains et de camions Knorr-Bremse a plus de commandes que jamais auparavant. Au cours des neuf premiers mois, l’entreprise, qui fabrique des systèmes de freinage pour véhicules ferroviaires et utilitaires, a reçu des commandes d’une valeur totale de 5,9 milliards d’euros, soit 17,4 % de plus que l’année précédente. A fin septembre, le carnet de commandes atteignait une valeur record de 6,9 milliards d’euros. Le secteur ferroviaire en particulier se porte bien, selon le communiqué de jeudi.
Les chiffres ont été bien accueillis en bourse : l’action a augmenté de 8,3 % à 52 euros et a ainsi mené la liste des gagnants du MDax. L’analyste de DZ Bank, Holger Schmidt, a évoqué de solides résultats au troisième trimestre : chiffre d’affaires et résultat d’exploitation ajusté légèrement supérieurs aux attentes du marché, prises de commandes significatives. « Pas de mauvaises surprises cette fois-ci », était l’avis de Marc Zeck du prestataire de services financiers Stifel.
Les ventes ont augmenté au cours des neuf premiers mois de quatre pour cent à 5,2 milliards d’euros. En termes de ventes, Knorr-Bremse profite notamment de la demande toujours forte de camions et autres véhicules utilitaires. L’activité pièces détachées se porte également bien. Dans l’activité ferroviaire, la baisse des ventes de véhicules neufs a été plus que compensée par les commandes de pièces de rechange.
En termes de bénéfices, en revanche, l’entreprise ressent les effets de la hausse des prix de l’énergie et des matières premières, de la guerre en Ukraine et des conséquences de la pandémie corona en Chine. Au cours des neuf premiers mois, le résultat d’exploitation a diminué d’un cinquième à 567,6 millions d’euros. De plus, en raison des perturbations continues de la chaîne d’approvisionnement à Knorr-Bremse, les entrepôts sont pleins.
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Cela se reflète dans les sorties de trésorerie, qui s’élèvent à 229 millions d’euros après neuf mois. Le patron par intérim et directeur financier Frank Markus Weber a déclaré que la société attachait une grande importance à sa capacité à livrer. « La constitution de stocks pour assurer la capacité de livraison est donc également un investissement stratégique dans des relations clients bonnes et durables. » Depuis le départ de Jan Mrosik, Weber dirige temporairement l’entreprise jusqu’à ce que l’ancien directeur de Daimler, Marc Llistosella, prenne la relève en janvier.
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