La datation au carbone peut-elle endommager ‘Shivling’ ? HC demande une réponse ASI


PRIYAGRAJ: Le HC d’Allahabad a demandé vendredi au directeur général de ASI pour clarifier si la datation au carbone et une enquête scientifique similaire de la prétendue ‘Shivling‘ trouvé dans l’étang wuzu du complexe Gyanvapi lors d’une récente enquête mandatée par le tribunal peut endommager la structure de quelque manière que ce soit.
Il a demandé à l’ASI de répondre à cette question spécifique dans une ordonnance qui a été rendue vendredi lors de l’audition d’une requête contestant la récente ordonnance du juge du district de Varanasi qui a rejeté la datation au carbone et l’enquête scientifique sur le « Shivling ». Le banc du juge JJ Munir a demandé la réponse de l’ASI tout en admettant une requête contestant l’ordonnance du tribunal de Varanasi qui a rejeté la demande de datation au carbone et d’enquête scientifique sur le «Shivling» trouvé le 16 mai.
Il a en outre demandé à la DG ASI de soumettre son avis sur la question de savoir si la sonde de ladite structure – par examen par datation au carbone, radar pénétrant dans le sol, excavation et autres méthodes pour déterminer son âge et sa nature – était susceptible de l’endommager. Ou s’il y avait un moyen d’évaluer en toute sécurité son âge.
Instruit d’une requête en révision civile par Laxmi Devi et trois autres, le juge Munir a ordonné que ledit rapport soit soumis par la DG ASI avant le 21 novembre, date de la prochaine audience. Le tribunal a également ordonné que cette ordonnance soit communiquée à la DG ASI par le greffier (conformité) du CH dans les 24 heures.
Compte tenu de l’affirmation faite par Hari Shankar Jain, l’avocat du requérant, selon laquelle le juge de district, Varanasi, poursuivait la poursuite et que cela pourrait avoir une incidence négative sur le résultat de toute enquête scientifique éventuelle par ASI, le tribunal a ordonné que le district juge devrait fixer une date dans le costume dans la première semaine de décembre.
Le tribunal a admis la requête et a également adressé des avis à Anjuman Intezamia Masajid – le Gestion de la mosquée Gyanvapi comité – le gouvernement de l’UP, l’administration du district et d’autres répondants dans l’affaire.
Auparavant, cinq pétitionnaires hindoues s’étaient adressées au tribunal civil de Varanasi, demandant le droit de culte Shringar Gauri et d’autres divinités à l’intérieur de la mosquée Gyanvapi. Le tribunal civil a ordonné une enquête sur la mosquée Gyanvapi par le commissaire avocat, qui a ensuite filmé les lieux et soumis un rapport au tribunal.
L’AIM a contesté l’enquête dans le Cour suprême, qui a ordonné au juge du district de Varanasi d’entendre l’affaire. Par la suite, quatre pétitionnaires sur cinq ont déposé une requête auprès du juge de district demandant la nomination d’experts de l’ASI pour connaître l’âge et la nature du « Shivling ».





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