La disparition de Liam Payne révèle les deux facettes des réseaux sociaux – nombreux sont ceux qui, tout en le pleurant, choisissent de le ridiculiser.

La disparition de Liam Payne révèle les deux facettes des réseaux sociaux - nombreux sont ceux qui, tout en le pleurant, choisissent de le ridiculiser.

L’article explore l’impact des médias sociaux après la mort tragique de Liam Payne, de One Direction, et la montée du hashtag #liamslaw, plaidant pour une législation sur la santé mentale des artistes. Il critique l’hypocrisie des fans qui, tout en rendant hommage, ont participé aux moqueries, et questionne la bienveillance envers la santé mentale, soulignant que la sensibilité envers Liam n’a pas été présente lorsqu’il luttait contre ses démons. Enfin, il souligne la nécessité d’un changement dans l’industrie musicale pour mieux protéger ses artistes.

Les réseaux sociaux, pour adapter une célèbre citation de Dickens, sont à la fois une bénédiction et une malédiction ; une ère de sagesse mêlée de folie.

Suite à la perte tragique de Liam Payne, les fans de One Direction se sont unis autour du hashtag #liamslaw. Ce mouvement vise à encourager la création de lois nouvelles pour protéger la santé mentale des artistes tout en renforçant la surveillance de l’industrie du divertissement.

Les hommages émanant de la famille, des amis et des fans soulignent l’impact profond que ce jeune homme a eu sur tant de vies.

La perte de Liam est immense et difficile à accepter.

C’est dans des moments comme celui-ci que les réseaux sociaux montrent leur valeur, en apportant un peu d’humanité et d’espoir à ceux qui en ont besoin.

Ironiquement, certains de ces mêmes fans, qui maintenant cherchent des coupables pour sa mort, étaient auparavant ceux qui se moquaient de lui sur Instagram et Snapchat, affichant des jugements cruels.

Ils ont assisté à la détérioration d’un homme si talentueux et resplendissant, commentant sa douleur avec une froideur choquante.

Où étaient leur empathie et leur soutien lorsque Liam avait besoin de compassion ?

Un rapport récent a indiqué que sa maison de disques, Universal, avait décidé de se dissocier de lui, en partie en raison des nombreuses blagues et mèmes le concernant sur internet.

En réponse, Universal a partagé un hommage sur Instagram, optant judicieusement pour désactiver les commentaires, conscients des réactions négatives potentielles.

Dans un climat où chacun se hâte de pointer du doigt quelqu’un d’autre, les dirigeants de l’industrie musicale deviennent des cibles faciles.

Pourtant, dans des situations comme celle-ci, il est crucial de se remettre en question.

Liam, comme tout être humain, aurait été affecté par ces commentaires cruels.

Cela dit, ceux qui l’ont critiqué ne le connaissaient pas vraiment. Une rencontre de quelques secondes pour un selfie ne suffit pas à établir une connexion significative.

Jusqu’à la fin, Liam a continué à sourire et à interagir avec ses admirateurs.

Le revoir maintenant, muni de cette connaissance, est particulièrement déchirant.

Comme l’a si bien déclaré sa sœur, Nicola, sur Instagram : « Ce monde cruel est trop prompt à juger quelqu’un sur quelques secondes de vidéo, leur donnant l’illusion de le connaître. »

Les personnes qui l’ont vraiment aimé sont celles qui comptent désormais.

Repose en paix, Liam.

PAM’S KOOKY COOKS

Pamela Anderson fait une belle réinvention – à 57 ans, elle est devenue une icône féministe, s’éloignant de son image d’antan de Baywatch.

Son nouveau livre de cuisine, « I Love You: Recipes From The Heart », reflète parfaitement son style excentrique.

Elle écrit avec passion sur le levain, affirmant que faire du pain c’est comme donner naissance, et parle avec tendresse des olives et des champignons.

Pam partage même des recettes pour ses compagnons à quatre pattes, précisant toujours de consulter un vétérinaire avant d’expérimenter.

Parfois, les photos peuvent hanter des personnalités, comme celles de politiques prises dans des moments embarrassants.

La récente image de Keir Starmer et sa femme à un concert pourrait le suivre longtemps, surtout après le freebie-gate.

UN PEU TROP DE CIVILITÉ…

Des fonctionnaires sont désormais découragés d’utiliser des termes comme « millennials » ou « Gen Z » pour éviter d’offenser.

Cela fait partie d’un effort vers un langage inclusif, visant à ne pas blesser ou exclure qui que ce soit.

Si les fonctionnaires pensent vraiment que les mots peuvent blesser autant, cela pose question sur leur aptitude à leur rôle.

LEARN THE LESSONS FROM BRAVE CHRIS’S CANCER TRAGEDY

Le témoignage de Chris Hoy sur son combat contre le cancer de la prostate doit servir de leçon pour nous tous.

Le cancer ne choisit pas ses victimes, qu’il s’agisse