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L’homme de 69 ans soupçonné d’avoir abattu trois Kurdes à Paris comparaît devant un juge d’instruction.
L’homme soupçonné d’avoir abattu trois Kurdes à Paris la semaine dernière a été mis en examen, selon le parquet de la ville.
L’évolution de lundi est survenue alors que le suspect comparaissait devant un juge d’instruction.
L’homme de 69 ans a été arrêté vendredi après que deux hommes et une femme ont été abattus dans un centre culturel kurde et un café kurde à proximité du 10e arrondissement central de Paris.
Le nom du suspect n’a pas été officiellement publié bien qu’il soit identifié par les médias français comme étant William K.
En droit français, faire l’objet d’une enquête formelle signifie qu’il existe des preuves sérieuses ou concordantes indiquant l’implication d’un suspect dans un crime.
L’enquête menée par un juge dédié portera sur des accusations de meurtre, de tentative de meurtre et de possession non autorisée d’arme, a indiqué le parquet dans un communiqué.
Il a ajouté qu’il soupçonnait qu’il y avait un motif raciste derrière la fusillade.
Les représentants kurdes ont appelé à ce que la fusillade soit considérée comme « une attaque terroriste », affirmant que la police aurait dû faire plus pour les protéger.
Ils ont organisé une manifestation silencieuse pour lundi après-midi où les tirs ont eu lieu.
Les meurtres ont provoqué des manifestations qui ont conduit à des affrontements avec la police au cours du week-end.
Les militants antiracistes et les politiciens de gauche ont lié la fusillade à un climat de discours de haine en ligne et à une rhétorique anti-immigrés et xénophobe de la part de personnalités d’extrême droite.
Les autorités françaises ont signalé une augmentation des crimes et violations liés à la race ou à la religion ces dernières années.
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