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Exprimé par l’intelligence artificielle.
La fille et l’épouse de l’ancien député européen Pier Antonio Panzeri resteront assignées à résidence en Italie après qu’un tribunal belge a retiré sa demande d’extradition concernant l’affaire de corruption du Qatargate à la suite d’un accord de plaidoyer entre le parquet belge et l’homme politique italien, a rapporté le Corriere della Sera. Mardi.
Un tribunal italien avait accordé une demande d’extradition au début du mois.
L’épouse de Panzeri, Maria Dolores Colleoni, et sa fille Silvia Panzeri ont été arrêtées le 9 décembre sur leur propre territoire, la Lombardie, en tant que suspectes dans la vaste enquête du Qatargate, et y sont depuis assignées à résidence.
Ils sont soupçonnés d’être au courant des activités illégales présumées de l’ancien législateur européen consistant à répandre de l’argent pour influencer au profit du Qatar et du Maroc, notamment par le biais de son organisation non gouvernementale Fight Impunity.
La semaine dernière, Panzeri a conclu un accord de plaidoyer avec le procureur belge, reconnaissant qu’il « a participé à des actes de corruption ». Panzeri s’est engagé à fournir plus d’informations en échange d’une peine de prison réduite et d’une confiscation de 1 million d’euros, dont 600 000 euros ont été découverts par les enquêteurs à son domicile bruxellois.
Michel Claise, le juge belge qui préside l’enquête, se rend mercredi à Milan pour rencontrer des enquêteurs italiens, a rapporté le Corriere della Sera.
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