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Le président russe Vladimir Poutine a prononcé un discours majeur devant l’élite politique et militaire russe, évaluant l’invasion de l’Ukraine.
Poutine a annoncé que la Russie avait suspendu sa participation au Traité sur les réductions offensives stratégiques, un traité visant à réduire et à limiter mutuellement les armes nucléaires stratégiques signé entre les États-Unis et la Russie en 2002.
Il a également déclaré que la Russie devait être prête à tester des armes nucléaires si les États-Unis le faisaient en premier. Cependant, Poutine a exclu que la Russie fasse une première frappe nucléaire.
Le président russe s’est engagé à poursuivre « systématiquement » la soi-disant « opération militaire spéciale » de Moscou en Ukraine, accusant l’Occident d’avoir déclenché la guerre.
Il a également affirmé que la Russie n’était pas en guerre contre le peuple ukrainien mais contre « son régime qui tient le peuple en otage ».
Poutine a souvent justifié son invasion de son voisin en accusant les pays occidentaux de menacer la Russie.
Ils disent que rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité et que les forces de Moscou ont attaqué l’Ukraine sans provocation.
« Ce sont eux qui ont déclenché la guerre. Et nous utilisons la force pour y mettre fin », a déclaré Poutine devant un parterre de législateurs, de responsables de l’État et de soldats qui ont combattu en Ukraine.
L’économie russe a résisté aux sanctions occidentales, a-t-il ajouté.
Poutine a également célébré les soldats russes et a promis de créer un fonds spécial pour leurs proches.
Le discours, qu’il a reporté en décembre, précède le premier anniversaire de l’invasion de l’Ukraine par la Russie vendredi.
Poutine a également mis en garde l’Occident contre la fourniture d’une aide militaire supplémentaire à l’Ukraine, affirmant qu’un tel soutien entraînera une réponse militaire de Moscou.
Le président russe s’est élevé contre les mariages homosexuels et les « valeurs occidentales corrompues ». Sous lui, le gouvernement russe a élargi les lois anti-LGBTQ ces dernières années.
Son discours intervient après plusieurs démarches diplomatiques à fort enjeu, dont la visite du président américain Joe Biden à Kiev. La première ministre italienne Giorgia Meloni est également arrivée à Kiev.
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