Le prince Harry rentrera en Angleterre en janvier 2025 pour son procès contre News Group Newspapers, sans Meghan Markle. Richard Fitzwilliams souligne la séparation du couple et les tensions avec la famille royale. Hugo Vickers évoque la possibilité d’un retour permanent d’Harry, tout en notant sa colère actuelle. En février, Harry a conclu un accord sur des allégations de piratage téléphonique, recevant 140 000 livres en dommages et intérêts pour des violations de sa vie privée.
Le Retour Anticipé du Prince Harry en Angleterre
Le prince Harry se prépare à revenir en Angleterre en janvier 2025 pour faire face à son procès contre News Group Newspapers (NGN), sans la présence de Meghan Markle à ses côtés. L’expert royal et commentateur de célébrités, Richard Fitzwilliams, a partagé son avis sur GBN : « Il est probable qu’ils agiront séparément, et plusieurs facteurs expliquent l’absence de Meghan au Royaume-Uni en ce moment. » Fitzwilliams a ajouté : « Les sondages d’opinion en disent long. Il est évident qu’il existe une fracture avec la famille royale, et il n’y a aucune raison pour qu’elle fasse le déplacement. » Cette situation intervient alors que des rumeurs circulent sur la possibilité qu’Harry envisage un retour permanent en Angleterre, loin de sa duchesse.
Les Développements Juridiques du Prince Harry
L’auteur royal et historien émérite, Hugo Vickers, a confié à l’éditeur royal Matt Wilkinson lors du podcast « Royal Exclusive » du Sun : « Je pense qu’il finira par rentrer chez lui. S’il le fait, nous devons lui montrer de la compréhension, car il pourrait ne pas être très enthousiaste à l’idée. Il semble éprouver une certaine colère. » La question de savoir si le roi Charles III, à l’époque de son règne, accueillera son fils a également été posée. Vickers a répondu : « Oui, je le pense. Le roi a toujours été ouvert à cette possibilité, surtout lorsque Harry semblait si heureux auparavant. » En février dernier, Harry avait déjà conclu un accord avec un tabloïd concernant des allégations de piratage téléphonique, mettant ainsi un terme à une bataille juridique où il accusait l’éditeur d’avoir intercepté ses messages vocaux. Dans le cadre de cet accord, le prince a reçu 140 000 livres en dommages et intérêts, marquant la fin d’un des nombreux cas juridiques qu’il a intentés contre des tabloïds britanniques pour ce qu’il considère comme une intrusion constante dans sa vie privée.
Le procès en question accusait des journalistes et des détectives privés travaillant pour ces journaux d’avoir accédé à ses messages vocaux entre 2003 et 2009, période durant laquelle des informations personnelles et confidentielles ont été divulguées. L’équipe juridique d’Harry a soutenu que ces informations avaient ensuite été utilisées pour créer des articles qui ont envahi sa vie privée, lui causant une détresse considérable. Actuellement, Harry est l’un des deux plaignants qui se dirigent vers un procès contre NGN, après que plus de 30 individus ont déjà trouvé un accord avec le conglomérat médiatique.