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Nau début de trois semaines en 2023 et, sans précédent, ma résolution du nouvel an est intacte. Cela concerne les données – en particulier, les données de santé, mes données de santé – et je suis fier de dire que mes données sont à jour. Chaque matin, je me pèse. C’est plus un violon qu’il ne devrait l’être parce que, sans spécifications, je ne vois pas les chiffres. Et je ne veux pas porter mes lunettes (ou quoi que ce soit d’autre d’ailleurs) car, comme un boxeur ou un jockey essayant de faire du poids, chaque gramme compte. Alors je monte à bord, j’attends que les chiffres cessent de clignoter, puis je saute, je me baisse et je les lis dans les deux secondes qu’ils vous donnent avant de vider l’écran. C’est un bon entraînement en soi.
Puis, avec un sursaut dans la démarche (si j’ai maigri) ou le cœur lourd (si ce n’est pas le cas), je descends prendre ma tension artérielle. Par la suite, en fonction de mes chiffres globaux, je combats l’amour-propre ou le dégoût de moi-même en préparant une tasse de thé. C’est un début de journée à gros enjeux, je vous le dis.
J’ai été poussé à cette folie par l’article que j’ai écrit sur le nombre de pilules que je prends chaque jour (neuf, au dernier décompte). Ce que j’ai supposé que j’obtiendrais en guise de réponse était beaucoup : « Oh oui, vous et moi tous les deux. » Ce genre de chose. Ce que j’ai eu à la place, c’était beaucoup de: « Mon Dieu, ça va? » Il est également devenu clair que perdre du poids soulagerait les symptômes de la plupart de mes maladies.
J’ai passé la majeure partie de ma vie d’adulte à taper sur 18 pierres, au nord de 110 kilos. J’ai réussi à perdre 10% de ce long terme mais, le 1er janvier, 102,6 kilos me semblaient corpulents. J’ai décidé de descendre en dessous de 90. Ça se passe plutôt bien, en grande partie à cause du début de journée décourageant de la pesée à l’aube si je n’ai pas été un bon garçon. Ça ne me dérange pas de vous dire que j’ai hurlé de joie ce matin quand je suis passé sous-99 pour la première fois. J’ai réveillé le chien, en fait, mais il s’en fichait un peu.
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Adrian Chiles est un écrivain, animateur et chroniqueur du Guardian
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