Le titre est approprié. La majeure partie du court métrage n’est que Grogu suspendu dans les airs, méditant dans un style Ghibli dessiné à la main. Il était déjà mignon, mais maintenant il est fondamentalement un chibi, ce qui est tout simplement injuste.
La musique qui joue en arrière-plan, écrite par Ludwig Goransson, est douce, avec un sens de l’intrigue qui correspond à la curiosité innocente et à la puissance de Grogu. Il joue tout au long comme le seul son du film, dans lequel la méditation de Grogu est interrompue par les lapins de poussière, dont la curiosité se traduit par une foule autour du petit extraterrestre vert.