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Pour l’éditeur: Le puma P-22 de Griffith Park était un chat sauvage. Il ne nous appartient pas. C’est ce que signifie être « sauvage ». (« Enterrer ou étudier ? Que faire des restes terrestres de P-22 », éditorial, 30 décembre)
Il n’appartient ni au California Department of Fish and Wildlife ni au Natural History Museum.
Clairement et sans aucun doute, qu’il soit enterré à Griffith Park, de préférence sans plaque. Laisse le partir. Ou oubliez qu’il y a jamais eu une chose telle que « sauvage ».
Sarah Starr, Los Angeles
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Pour l’éditeur: Le « chat hollywoodien » ne doit pas simplement être enterré quelque part et oublié. Il était plus important que ça. Il était le symbole de la conscience environnementale dans le sud de la Californie.
Malheureusement, P-22 est devenu l’objet d’intérêts concurrents ou, dans certains cas, d’aucun intérêt. Des groupes amérindiens ont exprimé leur désir de faire enterrer P-22 selon leurs coutumes et de ne pas soumettre le chat à la taxidermie. Ce serait une erreur.
P-22 devrait être autorisé à être soumis à la taxidermie, puis le reste de sa dépouille pourra être enterré par des groupes amérindiens. Une fois la procédure terminée, le P-22 devrait être exposé dans un lieu comme le musée Autry à Griffith Park.
Le but du musée est de présenter l’histoire de l’Ouest américain. P-22 serait un ajout naturel à ses expositions.
William Richardson, Van Nuys
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