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FQuinze ans après le début de sa carrière, la cheville ouvrière du dancehall Andrae Sutherland, alias Popcaan, se sent au sommet du monde. Sur son cinquième album, Great Is He, il exprime sa gratitude pour son ascension avec beaucoup de fanfaronnade dancehall classique – et qui pourrait lui en vouloir ? Des collaborations internationales avec Gorillaz, Jamie xx et Pusha T, à la vente de l’arène Wembley SSE en 2018, son singjaying distinctif a laissé une marque indélébile sur la culture.
Le morceau d’ouverture Defeat the Struggle est une ode touchante à l’ambition et à la mobilité ascendante : « Ghetto yutes that have a dream », chante-t-il, « don’t ever let it go ». Ensuite, nous sommes jetés dans les tambours en acier de Freshness, sur lesquels il se vante d’environ « des millions font une semaine ». Le refrain de « Prada mi Prada, Gucci mi Gucci » est puissamment accrocheur, et tout au long de l’album, il y a des évocations très évocatrices. références aux produits de luxe qui évoquent des images de goutte à goutte féroce. Son mentor, Vybz Kartel, a montré ses Clarks; Popcaan montre « le nouveau Louis V, le nouveau Nike Air ».
Mais ce récit de la misère à la richesse se sent vite rebattu, et l’album lui-même s’avère gonflé. Bien que la voix de Popcaan soit toujours lisse, vous atteignez New Benz et vous vous demandez à quoi sert un tel morceau pour l’album au-delà de nous faire connaître le « New Benz, new yard ». L’histoire d’origine tournée sur St Thomas Native se sent plus plombée qu’inspirante. Et au moment où l’avant-dernière piste Past Life, et le régime «crackers et eau» dont elle parle, arrivent, le message perd de son impact. Le morceau de clôture Great Is He, avec ses chœurs gospel et ses éloges du « plus haut », est tout aussi ennuyeux et donne l’impression de s’endormir à la messe de minuit. Le luxe et la gratitude sont de beaux motifs, mais sans une distinction sonore suffisante entre les morceaux, cela devient vite ennuyeux.
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