Qui donne une lueur d’espoir à Pascal ?

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« Il veut juste vivre ! |

Qui donne une lueur d’espoir à Pascal ?

Son ange gardien l’a quittée il y a trois ans…

Berlin- Un tragique accident de moto a changé du jour au lendemain la vie d’Anja Engel (49 ans) et de son fils Pascal (27 ans) de Spandau.

Le mécanicien moto de formation conduisait sa Suzuki GSX R 1000 lorsqu’une voiture lui a cédé le passage en avril 2019. Il a été réanimé et est resté dans le coma pendant des semaines. « Il avait de graves lésions cérébrales », a déclaré la mère. « Les médecins m’ont dit qu’il ne sortirait jamais de l’état de conscience minimal. Mais je ne l’ai pas abandonné. »

Bien que Pascal ait fait des progrès et puisse maintenant bouger et parler, il a besoin de soins depuis et la situation des soins est loin d’être optimale.

« Abandonner n’est pas une option » – avec cette devise, Pascal s’est battu pour sortir du coma

Photo : Siegfried Purschke

La mère est maintenant à la recherche d’un appartement plus grand et adapté aux personnes handicapées pour son fils et d’un service de garde 24h/24.

Elle a trouvé une place dans une maison de retraite adaptée aux personnes handicapées. Et une société de soins s’est d’abord occupée de Pascal, lui a donné des médicaments, de la nourriture et s’est occupée de son hygiène personnelle. « Je me suis cependant plainte de la façon dont il a été traité », dit la mère. « Ensuite, l’entreprise a résilié le contrat. »

La nouvelle société ne s’occupe désormais que des soins corporels de Pascal. Le jeune homme reçoit de sa mère de la nourriture et des médicaments.

« Sans mon aide, il devrait aller dans une maison et être mis sous sédation avec des médicaments », dit-elle. « Il perdrait tout ce qu’il avait appris jusqu’à présent. »

Avant l'accident, Pascal Engel était un jeune homme entreprenant - ici en voyage aux USA

Avant l’accident, Pascal Engel était un jeune homme entreprenant – ici en voyage aux USA

Photo: Privé

Afin de pouvoir le soutenir au mieux, elle s’installe dans la chambre commune de douze mètres carrés et dort sur le lit pliant. Un environnement exigu et un travail difficile qu’elle ne peut pas gérer seule sur le long terme. En raison de ses lésions cérébrales, Pascal réagit souvent de manière agressive. « Je n’en peux plus », dit la mère. « Aidez-moi, s’il vous plaît. »

Interrogé par BILD, Thomas Fischer, responsable du bureau d’aide sociale de Spandau, a expliqué: « Tous les prestataires contactés ont refusé d’être admis en raison du comportement très ostentatoire, parfois agressif et envahissant de M. Engel. »

Le bureau d’aide sociale tente de trouver une solution avec le service de santé. Fischer : « Cependant, il y a aussi des limites ici, de sorte que, par exemple, aucun espace de vie ne peut être mis à disposition. »

Anja Engel et son fils ne perdent pas espoir : « Il a des rêves pour lesquels il se bat. Pascal veut juste vivre.

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