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9. « Evermore » est un excellent compagnon de son album frère, « Folklore », mais n’est pas aussi convaincant que l’original.
« Evermore » nous emmène plus profondément dans la forêt mystique d’écriture musicale établie par « Folklore », mais comme beaucoup de suites, elle ne résonne pas aussi puissamment que l’original.
Dans une critique pour Rolling Stone, Claire Shaffer a qualifié l’album de « changement de rythme rafraîchissant ».
« L’approche habituelle de Swift pour se lancer dans de nouveaux genres ou sons est d’aller jusqu’au bout, mais sur » evermore « , elle est tout aussi douée pour organiser ces productions plus détaillées, toutes avec le même contour et la même méticulosité qu’elle fait avec ses meilleures paroles », a-t-elle écrit.
Comme toujours, Swift passe habilement de morceaux optimistes à des ballades tristes avec des ponts dévastateurs qui vous donnent envie de pleurer.
Il ne fait aucun doute que ses deux albums les plus récents sont liés, car « Evermore » a un son similaire et présente des clins d’œil à « Folklore ».
« Ivy », le 10e morceau de « Evermore », fait allusion à une affaire illicite, qui est le nom du morceau 10 de « Folklore ».
« Marjorie », piste 13 sur « Evermore », parle de la grand-mère de Swift. « Epiphany », la piste 13 de « Folklore », est écrite en pensant au grand-père de Swift.
Les temps forts immédiats incluent des morceaux comme « Willow », une chanson optimiste qui ramène les auditeurs dans l’univers « Folklore ».
« Champagne Problems » est l’histoire douloureuse d’une relation ratée. Il a une introduction au piano qui rappelle « New Year’s Day », une chanson sur un amour durable. Le contraste de cette relation avec celle détaillée dans « Champagne Problems » rend cette dernière encore plus déchirante.
Et, bien sûr, « Marjorie » est un hommage magistral et magnifique à la grand-mère de Swift qui regorge de paroles émouvantes et illustratives.
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