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Dans un 2021 atlantique article que j’ai lu plusieurs fois, l’écrivaine Deborah Copaken revient sur le temps qu’elle a passé avec une autre écrivaine, Nora Ephron. Un appel téléphonique aléatoire (« Salut, Deb, c’est Nora Ephron. » « Ouais, c’est vrai. Et je suis Jeanne d’Arc. ») a conduit à une amitié de dix ans entre Copaken et Ephron – ou, comme Copaken l’appelle, « cette femme sans fille qui m’a pratiquement adopté ainsi que plusieurs autres femmes. »
Article de Copaken, extrait de ses mémoires Ladyparts, répertorie ses propres défis de la quarantaine ainsi que la mort d’Ephron, en 2012. L’article aide ceux d’entre nous qui aiment depuis longtemps Ephron à mieux la connaître, mais ce qui me touche le plus, ce sont les trois leçons que Copaken a tirées de la comédie romantique auteur sur la navigation au moyen âge. Ephron, écrit Copaken, « m’apprend, par exemple, comment naviguer dans la moitié post-reproductive de ma vie ». Voici comment:
- Rassemblez des amis chez vous et nourrissez-les.
- Rire face à la calamité.
- Découpez toutes les choses – les personnes, les emplois, les parties du corps – qui ne vous servent plus.
Je me risquerais à suggérer que ces règles s’appliquent à la plupart des âges. Mais la liste de lecture d’aujourd’hui se concentre sur cette ère de la vie que nous appelons le «milieu» – ce qui la rend spéciale et comment y trouver une sorte de bonheur singulier.
Trois règles pour le bonheur au moyen-âge
De Deborah Copaken
Rassemblez des amis et nourrissez-les, riez face à la calamité et supprimez toutes les choses – les personnes, les emplois, les parties du corps – qui ne vous servent plus.
L’écart troublant entre votre âge et celui que vous pensez avoir
Par Jennifer Sénior
Il y a de bonnes raisons pour lesquelles vous vous sentez toujours 20 % plus jeune que votre âge réel.
Une ode au Moyen Age
De James Parker
Votre corps commence à vous trahir. Vous n’avez ni la vitalité de la jeunesse ni la licence de la vieillesse. Mais être sur la colline a ses plaisirs.
Toujours curieux ?
Autres détournements
PS
Je vous laisse avec quelques mots de l’ode de James Parker à l’âge mûr :
« Vous êtes plus libre. Les trucs qui vous obsédaient, ces pensées circulaires grinçantes, elles se sont épuisées. Vous vous connaissez assez bien maintenant. La vie vous a présenté votre ombre ; vous avez rencontré votre double sombre et, avec un peu de chance, vous avez tous les deux fait vos arrangements. Vous connaissez vos amis. Vous aimez vos amis et vous leur dites.
— Isabelle
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