Un journaliste critique Karine Jean-Pierre pour avoir refusé de répondre à ses questions : « Ils me méprisent »

Le journaliste de Today News Africa, Simon Ateba, critique l’attachée de presse de la Maison Blanche

Le lundi dernier, le journaliste Simon Ateba de Today News Africa s’est exprimé contre l’attachée de presse de la Maison Blanche, Karine Jean-Pierre, qui a refusé de l’appeler lors de la conférence de presse après que les acteurs de la série « Ted Lasso » ont obtenu une audience. Le casting, qui comprenait Jason Sudeikis et Hannah Waddingham, s’est joint à la Maison Blanche pour discuter de la santé mentale. Expérimentant de nombreux précédents avec Jean-Pierre, Ateba a commencé à crier lorsque les acteurs ont rejoint la salle de briefing avec lui.

Ateba, qui affirme ne pas pouvoir poser de question depuis sept mois, a déclaré à plusieurs reprises que la Maison Blanche avait fait preuve de discrimination contre lui et d’autres journalistes. En mars, le correspondant a été accusé d’avoir posé des questions difficiles à Jean-Pierre, ce qui a entraîné une révocation de ses qualifications professionnelles et une expulsion de l’Association des correspondants de la Maison Blanche.

Au cours de l’entretien de lundi, Ateba a critiqué la Maison Blanche pour avoir violé le premier amendement et pour ne pas avoir respecté sa liberté de presse. Il a également fait valoir que la Maison Blanche l’a méprisé et qu’ils ne le traitent pas avec les mêmes opportunités qu’ils accordent aux autres journalistes blancs et riches.

De nombreux journalistes ont appelé à la restriction de l’utilisation des briefings de la Maison Blanche, affirmant que cela permettrait aux responsables d’éviter de faire face à des questions difficiles. De plus, il y a eu de nombreuses critiques envers la décision de Jean-Pierre de donner la parole aux acteurs de « Ted Lasso » sans donner la parole aux journalistes traditionnels qui couvrent la Maison Blanche.

La décision de la Maison Blanche de limiter le premier amendement est une atteinte à la liberté de presse

La Maison Blanche a limité la liberté d’expression des journalistes en ne les autorisant pas à poser des questions et à exercer leur droit de demander des comptes au gouvernement en ce qui concerne les décisions importantes. Il est inacceptable de révoquer l’adhésion d’un journaliste à une association de correspondants juste parce qu’il a posé des questions difficiles à l’attachée de presse. En outre, le comportement des responsables de la Maison Blanche envers Simon Ateba est une preuve flagrante de discrimination à l’égard des journalistes de couleur.

La Maison Blanche ne doit pas seulement donner la parole à des célébrités qui font la promotion de leurs nouvelles productions, mais elle doit également permettre aux journalistes de poser des questions. Les autorités doivent respecter le premier amendement et permettre aux journalistes de faire leur travail. Les journalistes apportent des opinions, des perspectives et des connaissances cruciales à la conversation nationale et internationale. Ils doivent être traités avec respect et leur liberté de presse doit être préservée.

Conclusion

La Maison Blanche a limité la liberté de presse et a montré une discrimination flagrante envers les journalistes de couleur. Il est encouragent que Simon Ateba se soit exprimé contre cette injustice et ait défendu sa liberté de presse. Les journalistes doivent être autorisés à poser des questions difficiles, sans être intimidés ou discriminés. Les responsables de la Maison-Blanche doivent également se rendre compte de leur comportement envers les journalistes de couleur et s’excuser pour toute discrimination passée. C’est seulement quand tous les journalistes seront traités équitablement que la Maison Blanche pourra se Vanter de respecter pleinement leur liberté de presse.

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