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Jeudi 29 septembre, de nombreux hommes russes attendaient au poste frontière russo-géorgien pour tenter de quitter la Russie. Ils n’étaient pas sûrs de pouvoir s’exiler, mais ils voulaient essayer.
En Russie, à la frontière avec la Géorgie, une file de milliers de véhicules est visible depuis l’annonce de la « mobilisation partielle » par le président russe.
Les gens en ligne expliquent qu’ils ont dû attendre plusieurs jours et dormir dans leur voiture pour tenter de passer de l’autre côté. Certains d’entre eux ont fini par abandonner leurs véhicules et ont continué à pied.
Des milliers de jeunes hommes tentent d’échapper à la mobilisation décrétée par Vladimir Poutine. Cependant, certains Russes inscrits sur les listes de mobilisation sont contraints de rebrousser chemin après avoir signé un papier stipulant qu’ils ne peuvent pas quitter le territoire russe.
La Russie dit ne pas vouloir fermer ses frontières mais plusieurs hommes nous ont dit ne vouloir prendre aucun risque et ont préféré quitter la Russie tant qu’il en était encore temps.
À la frontière entre la Russie et le Kazakhstan, de grandes foules de Russes traversent le pays voisin et se dirigent vers la ville d’Oral, pour éviter d’être appelés à combattre en Ukraine. Ne sachant pas quoi faire ensuite, ils enregistrent leur résidence au centre administratif de la ville et essaient de trouver un logement temporaire dans la ville. Mardi, les autorités du Kazakhstan ont déclaré que 98 000 Russes avaient traversé le pays depuis que Poutine avait annoncé un projet partiel la semaine dernière.
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