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L’observation de David Cantwell, dans le long métrage d’Annie Zaleski, selon laquelle le classique Bob Dylan est « une superposition d’ironie et de couplets précipités » tandis que ses dernières ballades à mi-tempo « s’alignent plus étroitement sur les valeurs musicales et émotionnelles du Great American Songbook » est parfaite (« Ça parle tout droit du cœur » : Bryan Ferry, Adele et Engelbert Humperdinck sur Make You Feel My Love de Bob Dylan, 31 février). Mais j’espère que le Guardian marquera, aussi généreusement que l’hommage approprié de Mme Zaleski à Dylan, ce jour extraordinaire, il y a 60 ans, où les Beatles ont envahi ce territoire musical avec Please Please Me, un premier album historique réalisé en 24 heures. Ils n’ont jamais cédé ce cœur en y ajoutant progressivement toutes les subtilités lyriques (et dans leur cas musicales) originales de His Bobness.
Gareth Calway
Sedgeford, Norfolk
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