Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Étudiante russe de 20 ans, Olyesa Krivtsova est assignée à résidence en Europe pour un post anti-guerre sur son Instagram. Elle a été accusée de « terrorisme » après avoir critiqué la guerre de la Russie en Ukraine sur ses réseaux sociaux. Ses camarades de classe l’ont également dénoncée aux autorités en mal d’exemple. Krivtsova est maintenant en Lituanie et figure sur la liste des criminels les plus recherchés de Moscou.
Krivtsova, une étudiante russe a été ajoutée à la liste fédérale des personnes recherchées lundi après avoir fui le pays pour échapper aux poursuites pour avoir critiqué la guerre en Ukraine. Elle appartient à la ville septentrionale d’Arkhangelsk et risque plus de 10 ans de prison pour « justification du terrorisme » et « discrédit » à plusieurs reprises des forces armées russes sur des publications sur les réseaux sociaux.
Elle a fui l’assignation à résidence vers la Lituanie, membre de l’UE et de l’OTAN, le 15 mars. « Je suis en Lituanie maintenant et je n’arrive pas à croire que tout soit fini », a écrit l’étudiante sur sa chaîne Telegram ce jour-là. « La Russie sera libre !
Quelques jours plus tard, le nom de Krvitsova est apparu sur la liste des personnes recherchées par le ministère russe de l’Intérieur, comme l’a rapporté Sota.
Un tribunal d’Arkhangelsk a décidé lundi de remplacer l’assignation à résidence de Krivtsova par une peine d’emprisonnement par contumace. Le Service fédéral de surveillance financière de la Russie a placé en janvier Krivtsova sur sa liste de terroristes et d’extrémistes. Les banques russes sont tenues de geler les comptes des particuliers et des organisations inscrits sur ce registre.
Elle est l’une des 57 personnes en Russie à avoir été accusée de « discréditer les forces armées russes », selon le groupe de défense des droits humains OVD-Info. La Russie a adopté des lois interdisant de fait la critique publique de l’invasion de l’Ukraine au printemps dernier.
Les accusations de Krivtsova découlent du fait qu’elle a republié la critique d’un ami à l’encontre de camarades étudiants qui ont soutenu les référendums organisés par la Russie dans les régions ukrainiennes occupées l’automne dernier, ainsi qu’un message justifiant l’explosion du pont de Crimée en octobre. Elle a ensuite été signalée aux forces de l’ordre par d’autres étudiants de l’Université fédérale du Nord (Arctique) de Russie.
(Avec les inouts des agences)
Tu peux maintenant écrire pour wionews.com et faire partie de la communauté. Partagez vos histoires et opinions avec nous ici.