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© Reuters. PHOTO DE DOSSIER: Un homme passe devant un panneau d’affichage de Mitsubishi UFJ Trust and Banking Corporation, l’unité de gestion d’actifs du groupe japonais Mitsubishi UFJ Financial Group Inc. (MUFG), à Tokyo, Japon, le 31 juillet 2017. REUTERS / Issei Kato
TOKYO (Reuters) – Mitsubishi UFJ (NYSE 🙂 Financial Group Inc (T 🙂 a reporté l’émission d’une dette de niveau 1 supplémentaire (AT1), a déclaré lundi un porte-parole, faisant de la banque l’une des premières à le faire après le crédit Les détenteurs de Suisse AT1 ont perdu quelque 17 milliards de dollars.
Mitsubishi UFJ a décidé du report en tenant compte de l’appétit des investisseurs et des conditions du marché, a déclaré le porte-parole.
La transaction prévue fin avril est désormais suspendue jusqu’à la mi-mai au plus tôt, a ajouté le porte-parole.
Il a refusé de commenter le montant de l’émission prévue.
Les obligations AT1 – un secteur de 275 milliards de dollars connu sous le nom de «convertibles contingents» ou «obligations CoCo» – peuvent être converties en actions ou annulées si le niveau de capital d’une banque tombe en dessous d’un certain seuil.
Dans le cadre du sauvetage du Credit Suisse par son rival UBS, le régulateur suisse FINMA a déterminé que les obligations AT1 du Credit Suisse seraient anéanties, une décision qui a surpris les marchés mondiaux du crédit alors que les actionnaires sont sur le point de récupérer une partie de leur argent.
Reuters avait précédemment annoncé que Mitsubishi UFJ et Sumitomo Mitsui (NYSE 🙂 Financial Group prévoyaient d’émettre des obligations AT1 dès ce mois-ci, mais que les transactions pourraient être suspendues.
Selon les estimations de Goldman Sachs (NYSE :), il y a 69 milliards de dollars d’obligations AT1 libellées en dollars en circulation émises par les banques de l’Asie-Pacifique, les institutions chinoises continentales représentant 41 % du total des émissions.
Après le sauvetage du Credit Suisse, un certain nombre de régulateurs mondiaux et de banques centrales ont cherché à calmer les nerfs des investisseurs en déclarant qu’ils continueraient d’imposer des pertes aux actionnaires avant les détenteurs d’obligations.
Masahiko Kato, président de l’Association des banquiers japonais et directeur de Mizuho Bank, a déclaré lundi que la radiation des obligations du Credit Suisse était un cas particulier où les obligations AT1 étaient assorties d’une clause avertissant les investisseurs qu’elles pourraient être anéanties en cas de renflouement soutenu par le gouvernement.
Les obligations AT1 émises par les banques japonaises ne comportent pas de telles clauses, a-t-il noté.
« Je pense qu’il n’y aurait pas d’impact immédiat sur la levée de fonds des banques japonaises », a-t-il déclaré.