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Trois autres Européens ont été libérés par l’Iran en échange du diplomate iranien Asadollah Assadi dans le cadre d’un échange de prisonniers au cours duquel l’Iran a libéré le travailleur humanitaire belge Olivier Vandecasteele la semaine dernière, a déclaré un porte-parole du gouvernement belge.
Un ressortissant danois et deux personnes ayant la double nationalité austro-iranienne sont impliqués, a déclaré le porte-parole.
Assadi a été reconnu coupable en Belgique en 2021 dans le cadre d’un complot à la bombe déjoué en France et condamné à 20 ans de prison. L’Iran a déclaré que les accusations portées contre lui étaient fabriquées.
Dans un communiqué, le gouvernement belge a indiqué que la Danoise avait été arrêtée en Iran en novembre 2022 en lien avec des manifestations pour les droits des femmes.
Les deux binationaux ont été « arrêtés à tort en … janvier 2016 et janvier 2019 », a indiqué le gouvernement.
Le ministère autrichien des Affaires étrangères a déclaré dans un communiqué que ses citoyens Massud Mosaheb et Kamran Ghaderi avaient été libérés après respectivement 1 586 jours et 2 709 jours.
Mosaheb est le coprésident de la Société d’amitié irano-autrichienne et a été condamné à 10 ans de prison pour espionnage, tandis que Ghaderi est un homme d’affaires qui a également été condamné à 10 ans pour espionnage.
Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Lokke Rasmussen, a refusé de donner plus d’informations sur le citoyen danois, mais a déclaré dans un communiqué qu’il était « à la fois heureux et soulagé qu’un citoyen danois soit maintenant sur le chemin du retour vers sa famille après avoir été emprisonné en Iran ».
Kazem Gharibabadi, haut responsable iranien des droits de l’homme, a déclaré que les trois hommes avaient été libérés pour des raisons humanitaires, ont rapporté les médias iraniens.
Le Premier ministre belge Alexander De Croo a remercié Oman pour sa médiation dans l’échange.
Le pays arabe du Golfe entretient de bonnes relations avec l’Iran et les pays occidentaux et a déjà agi en tant que médiateur.
Après une escale à Oman et des tests médicaux, les trois hommes seront transportés par avion vers l’aéroport militaire belge de Melsbroek. Ils devaient arriver tôt le samedi matin (3 juin).
Des responsables du gouvernement belge ont déclaré qu’officiellement, il y avait encore 22 Européens dans les prisons iraniennes, mais qu’aucun autre Européen ne serait échangé contre Assadi.
Ils ont également déclaré que la Belgique continuait d’œuvrer pour la libération d’Ahmadreza Djalali, un ressortissant suédo-iranien qui a enseigné à l’université de Bruxelles et qui a été arrêté en 2016 lors d’un séjour universitaire en Iran.
L’Iran a arrêté des dizaines d’étrangers et de doubles nationaux ces dernières années, principalement pour des accusations d’espionnage et de sécurité. Des groupes de défense des droits ont critiqué les arrestations comme une tactique pour obtenir des concessions de l’étranger en inventant des accusations, une accusation que Téhéran nie.