Customize this title in frenchLa Slovaquie s’inquiète de la révision du budget de l’UE et remet en question le complément de migration

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Le ministère slovaque des Finances s’inquiète de la proposition de la Commission européenne de réviser le budget de l’UE avec 68,5 milliards d’euros supplémentaires pour la période 2021-2027, se demandant pourquoi il est nécessaire de reconstituer les réserves migratoires avec 15 milliards d’euros supplémentaires.

La semaine dernière, la Commission européenne a proposé de réviser le budget 2021-2027 de l’UE, mais le ministère slovaque des Finances s’interroge sur la nécessité de le faire.

Il est « plus ambitieux que prévu » et la justification des nouvelles dépenses « n’est pas tout à fait claire », a déclaré le ministère des Finances dans un communiqué à EURACTIV Slovaquie.

« La situation dans certains domaines (par exemple la migration) n’est pas fondamentalement différente de la situation au moment où le cadre financier pluriannuel a été adopté », a ajouté le ministère.

Alors que le ministère a reconnu que les réserves disponibles ont été utilisées pour faire face à la situation en Ukraine ou aux catastrophes naturelles en Syrie ou en Turquie, il a déclaré : « nous devons être sûrs que la reconstitution des réserves, telle que proposée par la Commission européenne, est pleinement justifiée ». ”.

Concernant les 1,9 milliard d’euros destinés à couvrir les frais administratifs de l’UE, la Slovaquie admet qu’ils « ne peuvent être ignorés dans la période actuelle de pressions inflationnistes accrues », mais souligne qu’ils doivent être « soigneusement spécifiés ». De nouvelles dépenses sont nécessaires en raison des clauses d’inflation dans les contrats de travail.

La Slovaquie a également salué la création d’un nouvel instrument spécial, baptisé EURI, destiné à couvrir l’augmentation des coûts de financement de la NextGenerationEU. Dans le cadre de la révision, l’argent destiné à payer les intérêts sur la dette commune de l’UE serait séparé du budget général, car la flambée des coûts menaçait de tarir l’argent d’autres domaines.

La Commission demande pour l’instant 19 milliards d’euros supplémentaires, les intérêts étant passés de 0,09 % en juin 2021 à 3,09 % en avril.

Dans l’ensemble, le ministère des Finances « craint que l’ambition excessive de la proposition ne conduise à des négociations très difficiles, ce qui pourrait ralentir considérablement le processus d’approbation de la révision ».

De son côté, la Commission s’attend à un « accord rapide » immédiatement après l’été et prévient que les contraintes budgétaires se feront autrement sentir en 2024.

L’approbation de la révision budgétaire est également requise de la part du Parlement européen.

(Barbara Zmušková | EURACTIV.sk)

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