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Le président du Conseil européen, Charles Michel, demandera directement à la Chine, au Conseil de sécurité des Nations Unies, de faire davantage pour pousser la Russie vers une « paix juste » en Ukraine, selon son projet de discours vu par Reuters à l’AGNU.
Lors de la réunion du Conseil de sécurité qui s’est tenue mercredi lors de l’Assemblée générale annuelle de haut niveau des Nations Unies à New York, Michel appellera à « une paix juste qui respecte la Charte des Nations Unies et ses principes fondamentaux – l’intégrité territoriale d’une nation souveraine ».
Michel se tournera ensuite directement vers la délégation chinoise pour dire : « En tant que nations responsables, unissons nos forces – pour persuader la Russie de mettre fin à cette guerre criminelle qui fait tant de mal », indique le projet.
Le vice-président chinois Han Zheng est à New York pour le rassemblement annuel des dirigeants mondiaux pour l’AGNU et devrait actuellement assister à la réunion du conseil de 15 membres pour la Chine, ont indiqué des diplomates.
Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy devrait également assister à la réunion du conseil.
La Chine s’est abstenue lors des votes de l’Assemblée générale de l’ONU, composée de 193 membres, qui ont exigé à une écrasante majorité que Moscou retire ses troupes d’Ukraine et cesse les combats. La Russie a envahi son voisin en février 2022.
Les abstentions de la Chine semblent refléter une tentative de rester à l’écart diplomatique concernant la guerre en Ukraine. Pékin a déclaré que la souveraineté et l’intégrité territoriale de tous les pays doivent être respectées, mais – en clin d’œil au malaise de la Russie à l’égard de l’OTAN – estime que toutes les préoccupations en matière de sécurité doivent être prises en compte.
L’UE s’est récemment exposée au risque d’une guerre commerciale avec la Chine lorsque la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a annoncé une enquête anti-subventions lors de son discours sur l’état de l’Union le 13 septembre, accusant la Chine de maintenir les prix des voitures « artificiellement bas par un immense État ». subventions ».