Eliza Carthy & the Restitution: Queen of the Whirl review – bobine de faits saillants | Élisa Carthy

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UNBien qu’elle soit incontestablement la reine du folk anglais, Eliza Carthy MBE s’est souvent hérissée aux confins que le mot « F » suggère, et qu’elle a fait de son mieux pour échapper, que ce soit en lançant son violon contre une guitare thrash rock ou en plongeant dans la batterie. ‘basse.

Elle revient ici sur ses 30 ans de carrière (à partir de 17 ans) en revisitant quelques-uns de ses temps forts avec son groupe actuel, un quintet folk-rock bien rodé. Choisis en partie via Twitter, ses 15 titres incluent des compositions anciennes comme Mohair, du folk classique comme The Snow It Melts the Soonest et des bizarreries comme Ewan MacColl et Space Girl de Peggy Seeger. Tout est étroitement joué, et avec Carthy dans une forme vocale si riche, chaque numéro émerge rafraîchi, même des morceaux improbables comme Good Morning, Mr Walker, à l’origine un calypso de Mighty Sparrow et plus tard refait par la défunte mère de Carthy, Norma Waterson. Sa tante, Lal Waterson, est également reconnue avec Stumbling On, recevant un traitement percutant enrichi de guitare électrique.

Le jeu de violon de Carthy, toujours inventif, mérite plus d’attention, mais sa personnalité, tour à tour ardente et espiègle, n’est pas ternie. Parfois, disons sur Pretty Ploughboy, elle évoque le passé rural du folk, tandis que sur son propre Blood on My Boots, elle évoque le music-hall – des trucs intemporels.

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