Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
L’année dernière, 99 journalistes ont été tués, dont une majorité – 77 – dans la guerre entre Israël et le Hamas. Selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), les 12 derniers mois ont été les plus meurtriers pour les médias depuis près d’une décennie.
Péage le plus élevé
Selon l’organisation, il s’agit du bilan le plus élevé depuis 2015, soit une augmentation d’environ 44 pour cent par rapport aux chiffres de l’année précédente (2022).
Le CPJ, cité par l’agence de presse AFP, a déclaré que sans le conflit au Moyen-Orient, les assassinats de journalistes auraient diminué d’année en année dans le monde.
« En décembre 2023, le CPJ a rapporté que plus de journalistes ont été tués au cours des trois premiers mois de la guerre entre Israël et Gaza qu’il n’y en a jamais eu dans un seul pays sur une année entière », a-t-il déclaré dans un communiqué.
Le CPJ a déclaré que sur les 77 journalistes tués pendant la guerre entre Israël et le Hamas, une grande majorité – 72 d’entre eux – étaient des Palestiniens. Parmi les cinq autres, trois étaient Libanais et deux Israéliens.
Regarder | Guerre Israël-Hamas | Les forces spéciales israéliennes entrent dans le plus grand hôpital fonctionnel de Gaza
Témoigner sur le front
Dans un communiqué, la directrice générale du CPJ, Jodie Ginsberg, a fait remarquer que « les journalistes de Gaza témoignent en première ligne ».
« Les pertes immenses subies par les journalistes palestiniens dans cette guerre auront des impacts à long terme sur le journalisme, non seulement dans les territoires palestiniens mais dans la région et au-delà. »
« Chaque journaliste tué constitue un nouveau coup porté à notre compréhension du monde », a-t-elle ajouté.
Alors que les chiffres du CPJ évaluent à 77 le nombre de journalistes tués dans le conflit à Gaza, selon les données publiées le 7 février par l’organisation basée à New York pour la liberté de la presse, le bilan s’élève à 85.
Le CPJ avait précédemment qualifié la mort de journalistes de « persécution » par les forces israéliennes. L’organisation enquêterait sur la mort d’une douzaine de journalistes tués pendant la guerre à Gaza, afin de déterminer si leur mort constitue un « crime de guerre » – s’ils ont été délibérément tués par les forces israéliennes.
(Avec la contribution des agences)