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Le fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, saura mardi 26 mars si la Haute Cour de Londres l’autorisera à faire appel de son extradition de la Grande-Bretagne vers les États-Unis ou si ses contestations judiciaires britanniques ont finalement abouti.
Les procureurs américains cherchent à traduire Assange, 52 ans, en jugement pour 18 chefs d’accusation liés à la publication très médiatisée par WikiLeaks de vastes quantités de documents militaires américains confidentiels et de câbles diplomatiques, tous sauf un tombant sous le coup de la loi sur l’espionnage.
Ils affirment que les fuites ont mis en péril la vie de leurs agents et qu’il n’y a aucune excuse pour sa criminalité.
Les nombreux partisans d’Assange le saluent comme un héros contestataire persécuté, bien qu’il soit journaliste, pour avoir dénoncé les actes répréhensibles des États-Unis et commis des crimes de guerre présumés.
Ses batailles juridiques en Grande-Bretagne ont commencé en 2010, et il a ensuite passé sept ans enfermé dans l’ambassade de l’Équateur à Londres avant d’être traîné dehors et emprisonné en 2019 pour avoir violé les conditions de sa libération sous caution.
Depuis, il est détenu dans une prison à sécurité maximale du sud-est de Londres, et s’y est même marié.
La Grande-Bretagne a donné son feu vert à son extradition vers les États-Unis en 2022, et il tente depuis d’annuler cette décision.
Sa première tentative d’appel a été refusée l’année dernière, ce qui a donné lieu à une audience de deux jours le mois dernier lorsque ses avocats ont cherché à annuler ce jugement. Ses partisans estiment qu’il s’agit là de sa dernière chance de bloquer son extradition devant les tribunaux anglais.
Deux juges de haut rang rendront leur décision mardi à 10h30 GMT. Si Assange gagne, une audience d’appel complète aura lieu pour réexaminer sa contestation. S’il perd, sa dernière option serait de faire appel devant la Cour européenne des droits de l’homme.
Son épouse, Stella Assange, a déclaré que cela pourrait être une décision de vie ou de mort, affirmant que son mari ne survivrait pas s’il était envoyé aux États-Unis.