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Adélaïde (Australie) (AFP) – David Warner a retiré mercredi une offre visant à annuler son interdiction à vie de diriger l’Australie, affirmant qu’un comité d’examen indépendant voulait « mener un lynchage public » et que ce serait traumatisant pour sa famille.
L’ouvreur dynamique et ancien vice-capitaine du test a été banni de tout rôle de leadership pour son rôle dans l’affaire de falsification du ballon au Cap en 2018.
Il a également été giflé d’une suspension de jeu d’un an, mais a rebondi pour reprendre sa place dans l’équipe nationale dans les trois formats du jeu.
Le mois dernier, Cricket Australia a modifié sa politique de code de conduite des joueurs, ce qui lui a ouvert la voie pour demander un réexamen de l’interdiction de capitainerie devant un panel de trois commissaires au code de conduite.
Mais il a apparemment fermé la porte avec une longue et cinglante déclaration sur les réseaux sociaux affirmant que le panel avait fait des commentaires « offensants et inutiles » à son sujet.
Il a allégué qu’ils voulaient « un procès public contre moi et ce qui s’est passé lors du troisième test à Newlands » en 2018.
« Ils veulent organiser un spectacle public pour, selon les mots du panel, faire un ‘nettoyage’. Je ne suis pas prêt à ce que ma famille soit la machine à laver le linge sale du cricket », a-t-il écrit à la veille du deuxième Test contre le Antilles à Adélaïde.
Il a ajouté qu’il est apparu que le panel « n’a fait que passer en revue les questions de bien-être des joueurs et les intérêts du cricket australien et est plutôt déterminé à mener un lynchage public ».
« Malheureusement, je n’ai pas d’autre alternative pratique à ce stade que de retirer ma candidature. »
Le panel devait déterminer si le comportement de Warner s’était amélioré et si ses remords étaient sincères, en revisitant essentiellement les événements de 2018 lorsqu’il a été choisi comme le méchant clé dans le scandale « Sandpaper-gate ».
À l’époque, il a conspiré avec Steve Smith et Cameron Bancroft pour modifier le ballon lors du troisième test au Cap.
Selon les nouvelles règles de CA, un joueur doit démontrer que « des circonstances exceptionnelles existent pour justifier la modification d’une sanction ».
La nouvelle règle « reconnaît que les joueurs et le personnel d’encadrement des joueurs sont capables d’une véritable réforme ou réhabilitation ».
En vertu de l’ancien code de conduite, les joueurs n’avaient pas le droit de revoir une sanction une fois qu’elle avait été acceptée.
© 2022 AFP
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