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jeCela fait quatre ans qu’Ariana Grande a sorti son bien-aimé Postes, une célébration douce de son futur mari, Dalton Gomez. Dans cette suite vaguement conceptuelle, elle dévoile la fin rapide de cette relation, tout en luttant contre un nouvel amour et les retombées des tabloïds qui en découlent. Premier single Oui, et ? résume parfaitement l’attitude de Grande à l’égard des rumeurs et des enquêtes parasociales : « Votre entreprise est à vous et la mienne est à moi/Pourquoi vous souciez-vous autant de la bite que je chevauche ? »
La ligne est livrée avec une telle retenue que son impact passe inaperçu au premier abord. C’est une technique que Grande, qui possède une voix qui pourrait décoller le papier peint, utilise partout, qu’il s’agisse de faire allusion à la triche sur la chanson titre flottante ou de demander la clémence sur l’excellent Robyn-esque We Can’t Be Friends (Wait for Your). Amour). Les synthés saccadés et le BPM plus joyeux de ce dernier sont une valeur aberrante sur un album qui privilégie le R&B midtempo, offrant à Grande un espace pour expérimenter de somptueuses couches vocales (The Boy Is Mine) et des mélodies aussi tranchantes que du verre taillé (Supernatural). Raffiné et subtil, mais avec ce qu’il faut de mordant (voir l’histoire vraie aux teintes sombres), Soleil éternel cela ressemble à un nettoyage des ponts émotionnels.