Customize this title in french Bettye Lavette : Lavette ! critique – plus de puissance du cœur sur la manche du vétéran de l’âme | Âme

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

OAlors qu’elle était encore adolescente, Bettye Lavette a laissé une marque indélébile sur la musique soul des années 1960 avec une paire de singles slinky (My Man, He’s a Lovin’ Man et Let Me Down Easy), après quoi elle semblait destinée à devenir une merveille à deux tubes, surtout après que son label, Atlantic, ait mis de côté un album cher et éblouissant de 1972, Enfant des années 70. Lavette, née au Michigan, avait d’autres idées, même s’il a fallu attendre 2005 avant J’ai mon propre enfer à éleverun album de chansons de femmes dont Sinéad O’Connor et Dolly Parton, l’a rétablie en tant que chanteuse d’une puissance et d’une vulnérabilité rares.

Depuis lors, les honneurs ont afflué – se produire lors de l’investiture de Barack Obama, par exemple – aux côtés d’albums acclamés pour la capacité de Lavette à habiter et à transformer une chanson : 2018’s Les choses ont changéun ensemble de reprises de Dylan et des années 2020 Merles, célébrant des pionnières telles que Nina Simone et Dinah Washington. Comme ces deux-là, Lavette ! a été produit par Steve Jordan (de nos jours le batteur des Rolling Stones), et joué par une équipe de session sans faille. Ses chansons, du sudiste Randall Bramlett, n’ont pas le poids de Dylan ou de Simone, mais s’avèrent bien adaptées à la voix de cœur de Lavette, qu’il s’agisse de l’âme torride du sud de Don’t Get Me Started, du funky Mess À propos de ça ou du désespéré It’s Alright. A 77 ans, Lavette a encore de la peau dans le jeu.

Source link -57