Customize this title in french Vue d’ensemble : l’allure fluo des bars de jeux vidéo de Los Angeles | La photographie

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FRanck Bohbot a grandi en France et, lorsqu’il est arrivé à Los Angeles en 2018, il a trouvé l’étalement difficile à gérer. Un point de référence pour lui était les bars de jeux vidéo de la ville, dont il reconnaissait l’atmosphère dans les films pour adolescents préférés, y compris Terminateur 2 et Le jour de congé de Ferris Bueller. Après avoir erré dans son premier, Blipsy’s à Koreatown, il a commencé à chasser leur morosité d’évasion. Plusieurs des bars étaient baignés d’une lumière rappelant la solitude du peintre Edward Hopper. Engoulevents. Dans presque tous les cas, sa caméra a trouvé des images dont la période était difficile à localiser : les barres d’arcade étaient enracinées dans la culture du jeu des années 1980 – Pac-Man, Space Invaders, Track & Field étaient des machines de base – mais leurs habitués, comme ici à Barcade dans le nord-est banlieue de Highland Park, souvent référencé des styles à partir des années 1950.

Le projet est devenu une sorte de quête : Bohbot est allé de bourg en bourg dans la ville et le long de la côte, cherchant ses barres de manettes, agissant sur les dénonciations et faisant des listes de pistes. Cela lui a permis de dessiner une carte alternative de la ville, chaque lieu offrant un nouveau défi, à la manière des niveaux d’un jeu vidéo. «Chaque arcade attire une foule légèrement différente», a-t-il noté, «des amateurs de plage et des bar-hoppers aux joueurs sérieusement engagés. Les atmosphères varient également – ​​certaines lumineuses, immaculées, ordonnées ; certains sombres, maussades, secrets. Plusieurs propriétaires de bars, passionnés par leurs créations, l’ont accueilli lui et sa caméra ; d’autres fois, il devait être plus discret.

Les images sont devenues un livre, qui vous plonge dans toute l’allure noire et néon des lieux découverts par Bohbot. Si l’on est tenté de penser à la Californie blanchie de lumière, ses images habitent ces pièces sombres où les indigènes vont pour s’en échapper. Il y a en eux une grande partie de la ville de Joan Didion, ce lieu qui « enivre les uns et inonde les autres d’un malaise amorphe ».

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