Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsIl est désormais bien connu que la plupart des terres agricoles européennes sont entre les mains d’agriculteurs vieillissants : plus de la moitié des terres agricoles sont gérées par des agriculteurs de plus de 55 ans, tandis que seulement 6 % de la superficie totale est gérée par des agriculteurs de moins de 35 ans. Mais alors que la menace imminente du renouvellement générationnel a occupé le devant de la scène dans les discussions politiques, un autre type de renouvellement générationnel est passé discrètement sous le radar – un phénomène qui devrait tout autant inquiéter le secteur agricole. Le service agricole de la Commission européenne, plus connu sous le nom de DG AGRI, connaît également une hémorragie, plusieurs de ses chefs de file ayant pris leur retraite au cours des derniers mois. Les fonctionnaires de l’UE tels que l’autorité de la chaîne alimentaire Michael Scannell, l’économiste agricole Tassos Haniotis ou le plus grand expert en commerce John Clarke seront tous familiers à ceux d’entre nous qui travaillent dans la politique agricole européenne, étant donné qu’ils ont participé à de nombreuses apparitions publiques de la Commission. Et avec, cumulées, plusieurs vies d’expérience à leur actif, il ne fait aucun doute que leurs départs ont laissé un grand vide – un vide qui doit désormais être comblé par une nouvelle vague de recrutements. La question est : ont-ils l’expertise nécessaire pour naviguer dans la complexité croissante de l’agriculture dans un monde en évolution ? La réponse est un non catégorique, selon un responsable européen officieux, qui a averti qu’il n’y avait actuellement aucun signe d’investissement nécessaire dans la prochaine génération d’experts de la DG AGRI. Le responsable a également réservé des critiques sur la nature tournante des nouveaux recrutements à la Commission – à travers laquelle les nouveaux fonctionnaires sont obligés de alterner entre les départements tous les six ans – ce qui rend impossible le développement des connaissances approfondies nécessaires pour comprendre les nuances de chaque secteur. Mais tout n’est peut-être pas perdu, selon un autre responsable européen, plus optimiste, soulignant que des efforts concertés ont été déployés ces derniers mois pour recruter des experts externes. Un défi pour les recruteurs est également de prendre en compte lors de leur recrutement les nouvelles priorités de la politique agricole de l’UE, qui nécessitent des connaissances dans les aspects de la durabilité ou une solide formation scientifique – alors qu’il y a seulement quelques décennies, les compétences économiques étaient plus attrayantes, la DG AGRI s’occupant principalement subventions, marchés de matières premières et commerce. Mais la DG AGRI n’est pas la seule à ouvrir un tout nouveau chapitre. Cette semaine marque le départ d’un autre géant de l’agroalimentaire européen – notre rédacteur bien-aimé, Gerardo, qui apporte avec lui une riche expérience acquise au cours des cinq dernières années à la tête des pôles agroalimentaires et de santé d’Euractiv. Et vous avez peut-être entendu les « rumeurs » – comme le chante Taylor Swift dans son tube « Blank Space » (qui, nous pouvons vous l’assurer, ne concernent pas les grandes chaussures à remplir à la DG AGRI) – selon lesquelles Natasha et Julia vont bientôt aussi se déplacer vers leurs propres pâturages plus verts. Tous deux quitteront Euractiv à la fin de l’année, ce qui signifie qu’il y aura encore plus de « espaces vides » à combler dans le monde agroalimentaire européen. Les dernières années ont définitivement apporté à la fois « magie et folie » (les fans de Taylor Swift devraient probablement être ravis avec tant de références à sa chanson) – mais nous avons adoré jouer à ce jeu. C’est donc notre chant du cygne et l’occasion de dire un immense merci à tous ceux d’entre vous qui ont suivi et contribué à notre travail au cours des dernières années. Au revoir, adieu et merci pour tous les (AGRI)FISH. Par l’équipe agroalimentaire d’Euractiv Abonnez-vous à l’Agrifood Brief d’EURACTIV, où vous trouverez les dernières actualités sur l’agriculture et l’alimentation en Europe. Le dossier agroalimentaire vous est présenté par l’équipe agroalimentaire d’EURACTIV – Gerardo Fortuna (@gerardofortuna), Natasha Foote (@NatashaFoote), Julia Dahm (@dahm_julia) et Maria Simon Arboleas (@msimonarboleas). Nouvelles de la semaine COP28. Après que la COP27 ait consacré pour la première fois un pavillon à l’alimentation, l’alimentation et les systèmes alimentaires seront désormais au centre des discussions à Dubaï, où s’apprête à démarrer la 28e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (COP28). . La conférence aux Émirats arabes unis se déroulera du 30 novembre au 12 décembre. «Même si nous apprécions reconnaissance officielle du rôle que joue l’alimentation, à la fois comme moteur mais aussi comme solution au changement climatique, nous suivrons de près les débats de la COP28 et leurs conclusions », a commenté le président de Slow Food, Edward Mukiibi. « L’organisation vérifiera quelles solutions sont proposées pour un transformation urgente du système alimentaire et si les gouvernements profitent de l’occasion du bilan de l’Accord de Paris pour réviser les plans nationaux sur le climat afin d’inclure les systèmes alimentaires dans une approche holistique. Renouvellement du glyphosate confirmé. Le renouvellement de l’usage du glyphosate pour les 10 prochaines années, confirmé le 28 novembre, représente un nouveau choc pour la biodiversité après le rejet du Règlement d’usage durable (SUR) des pesticides. En ne parvenant pas à obtenir une majorité qualifiée contre le renouvellement, les Etats membres a refusé de définir une vision pour une méthode alternative d’agriculture et a ouvert la voie à sa réautorisation par la Commission européenne. Plus de « boeuf »–Accord sur les émissions industrielles. Les négociateurs des États membres de l’UE et du Parlement sont parvenus à un accord sur le sujet controversé. Directive sur les émissions industrielles (IED) tôt le matin ce mercredi (29 novembre). Si la directive couvre les installations industrielles et leurs émissions en général, elle s’applique également à certains élevages. Mais même si la Commission a proposé d’inclure bétail exploitations agricoles d’une certaine taille dans la législation, c’était abandonné dans le texte finalqui prévoit seulement que la Commission devrait « réexaminer » la « nécessité d’une action de l’UE pour lutter contre les émissions liées à l’élevage de bétail, y compris les bovins » d’ici la fin 2026. Le groupe de centre-droit PPE a salué l’accord, affirmant que l’exclusion du bétail était la « partie la plus importante » de la position de négociation du Parlement sur ce dossier. Les écologistes, en revanche, ont dénoncé cette décision. « Laisser hors du champ d’application les élevages bovins industriels (…) mine le potentiel d’une réglementation qui devrait être un bouclier pour les citoyens, et non pour les pollueurs », ont déclaré le Bureau européen de l’environnement (BEE), le Réseau Action Climat (CAN) et ClientEarth dans une déclaration commune. Politique de promotion de l’année prochaine. La Commission européenne a également présenté sa politique de promotion agroalimentaire pour 2024 aux représentants des États membres lors de la commission spéciale sur l’agriculture de cette semaine. Le programme alloue près de 186 millions d’euros à des activités pour la promotion des produits agroalimentaires de l’UEtant à l’intérieur qu’à l’extérieur du marché intérieur. L’inclusion de certains produits comme la viande rouge ou l’alcool dans la politique de promotion est de plus en plus contestée, car les critiques affirment que la promotion de produits comme la viande rouge ou l’alcool va à l’encontre du plan de lutte contre le cancer et de la stratégie de la ferme à la table de l’UE. Le controverse a également été soulevé lors de la réunion, où, selon une source interne, certaines délégations ont appelé à continuer d’inclure tous les produits, tandis que d’autres ont souligné l’importance de promouvoir une alimentation saine. L’huile d’olive et la santé. Une nouvelle étude sur les effets bénéfiques de l’huile d’olive extra vierge (EVO) menée par le Centre d’études et de recherche sur l’obésité de l’Université de Milan a été présentée au Parlement européen lundi 23 novembre. La recherche fournit une analyse complète des processus moléculaires et cellulaires qui sous-tendent la bienfaits de l’huile d’olive extra vierge aux polyphénols. Coin CAP Premier bilan du plan PAC. Un peu moins d’un an après l’entrée en vigueur de la PAC réformée, la Commission européenne a publié un premier rapport de synthèse sur les 28 plans stratégiques nationaux de la PAC. Même si le rapport ne détaille pas…
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